La tête au repos

Louis XVI est condamné à la guillotine. Le président du tribunal révolutionnaire trébuche sur les mots en lisant la sentence. Il bafouille. Il s’exaspère. Finalement, incapable de terminer sa lecture, il tend son papier à l’accusé : « Tenez, mon ami, vous lirez cela plus tard, à tête reposée. »