blague avare

L’or de l’au-delà

Un affreux avare est en train de mourir. Il appelle à son chevet un prêtre et commence à se confier à lui.
– Ah, monsieur le curé, j’ai travaillé tellement durement toute ma vie pour obtenir tout ce que j’ai ! Ça me fait mal de laisser tout ça ici ! Si seulement je pouvais emporter tout mon or avec moi !

Et l’homme d’église, sincère, lui répond :
– Pas la peine, là où vous risquez d’aller, il fondrait…

Par ici la monnaie !

Un jeune homme, venu présenter ses vœux le premier de l’an à son parrain dont l’avarice est proverbiale, lui dit :
– Mon cher parrain, figurez-vous que j’ai rêvé une chose agréable.
– Ah ! Et quoi donc ?
– Que… vous me prêtiez cent euros.
– Eh bien ! Mon cher filleul, garde tout. Inutile de me rembourser.