blague associé

La blague de la paternité de l’avocat

Lorsqu’ils durent employer une secrétaire, les deux jeunes associés de ce cabinet d’avocat ne purent pas résister à s’attacher les services de cette belle jeune fille qui était aussi sexy qu’une actrice porno.
Malgré la promesse qu’ils s’étaient faites l’un à l’autre de ne rien tenter pour la mettre dans leur lit, ce qui devait arriver arriva et la jeune secrétaire finit par tâter des draps de soie de ses deux employeurs.

Mais le bon temps ne dure qu’un temps, et un beau jour, leur secrétaire leur annonça en rougissant qu’elle était enceinte, et que c’était forcément l’un de ses deux patrons qui était responsable de la grossesse.

Peu enclins à prendre leur responsabilité de père, les deux avocats décidèrent de payer à la secrétaire un congé de grossesse sur la Côte d’Azur.

Cinq mois plus tard, sans nouvelle de l’employée, un des avocats se décide à faire le voyage jusqu’à Nice. Le soir même, il téléphone à son associé qui est resté dans le bureau parisien :
– Alors, demande l’autre pour avoir des nouvelles, raconte, elle a accouché ?
– Oui, elle a accouché, répond le premier d’une voix enjouée, mais j’ai quand même à te faire part d’une bonne et d’une mauvaise nouvelle.
– Aïe aïe aïe, commence par la bonne ! lui répond son comparse.
– Eh bien, la bonne nouvelle, c’est qu’elle a eu des jumeaux et qu’elle va bien.
– Formidable, répond l’autre. Et la mauvaise nouvelle ?
– La mauvaise nouvelle, c’est que le mien est mort…

L’agonie de l’avocat

Un avocat est à l’agonie. Jacques V., son associé depuis 40 ans est à son chevet.

Dans son dernier souffle, le mourant se confesse :
– Jacques, je dois te confesser quelque chose. Je couche avec ta femme depuis plus de quinze ans, et je suis le père de « ta » fille Carole. Je dois aussi te confesser que je pique dans la caisse depuis plus de dix ans.
– C’est pas grave, lui répond l’autre. Ne pense plus à tout ça : c’est moi qui ai mis de l’arsenic dans ton martini…

La vieille femme et l’avocat

Une vieille femme vient voir son avocat car elle doit lui payer une note d’honoraires de 200 euros. Elle lui remet un billet de 200 euros, mais ne se rend pas compte qu’un autre billet du même montant est resté collé au premier.

Le soir même, l’avocat se rend compte de l’existence de ce second billet, et est alors tourmenté par une très grave question éthique :
« Dois-je en informer mon associé ? »