blague accidents
La blague gore du papa écraseur
Un gamin sur la banquette arrière :
– Papa, papa écrase le matou, papa !
– Ta gueule morveux !
– Allez papa, sois sympa !
La voiture fait un écart et « miaouuuu » le chat…
12 minutes après :
– Papa, papa le cleps, papa steuplaît !
La voiture accélère et « kai kaiiiiii » le chien.
18 minutes passent :
– Papa, papa la vache, papa !
– Tais-toi je vais abîmer ma caisse…
Mais à force d’insister, papa gâteau fonce sur la vache … « meuuuu ! »
Une heure passe …… plus rien
– Et papa j’ai une idée, on écrase petit Pierre !
– OK.
La portière s’ouvre le môme se retrouve sur la route. La voiture fait demi tour et fonce, le gamin excité a la tête entre les deux fauteuils :
– Vas-y papa tu vas te le faire !
Et la Range écrabouille le petit Pierre. A ce moment là, la petite soeur se met à pleurnicher.
– Qu’est-ce qui ne vas pas ? demande le père.
– C’est à cause du petit Pierre.
– Ben quoi ? T’as de la peine ?
– Non, j’ai pas bien vu, papa.
La blague de la blonde pilote d’hélicoptère
C’est le baptême de l’air de la blonde Jennifer qui va effectuer son premier vol en hélicoptère. Au sol, l’instructeur met son casque et branche son radio émetteur pour garder un contact permanent avec son élève.
L’hélicoptère décolle et lorsqu’il atteint une altitude de 100 m, l’instructeur interroge par radio : « Comment ça se passe Jennifer ? A toi. »
Jennifer répond :
« Génial. La vue est splendide… J’adore ça ! A vous. »
Lorsque l’hélicoptère arrive à 500 m d’altitude, l’instructeur demande :
« Ca va toujours Jennifer ? A toi. »
Toujours aux anges, Jennifer réplique :
« Fabuleux. Je crois que j’ai pris la mesure de l’appareil… L’hélicoptère, c’est formidable. A vous. »
Mais quelques secondes plus tard, l’instructeur voit l’hélicoptère tournoyer sur lui-même et descendre en vrille pour finalement heurter le sol à grande vitesse. Il se précipite vers la carcasse et aperçoit la blonde complètement groggy… Il lui demande :
« Mais que s’est-il passé Jennifer ? »
Titubante, elle marmonne :
« J’ai pas compris. Comme il commençait à faire frais là-haut, j’ai arrêté le grand ventilateur. Après, je ne me souviens plus de rien. »