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Les cours de Jean-François Copé

Jean-François Copé donne des cours de boulangerie
16 février 2015 – Les cours de Jean-François Copé

Jean-François Copé, the professor, mis en examen pour abus de confiance, donne des cours aux étudiants de Sciences-Po Paris. L’objet principal de ce cours est de familiariser les étudiants avec l’art de la gouvernance.
(Caricature Jean-François Copé – Dessin du 16 février 2015)

La blague du costume funèbre

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Le père d’un citoyen belge exilé en Australie vient de mourir. Malheureusement, des obligations dans ce pays vont l’empêcher de prendre l’avion pour assister aux obsèques (sa femme est à l’hôpital). Alors il appelle son frère cadet en Belgique, et il lui dit :
– Ecoute, fais quelque chose de bien pour papa de ma part. Je te laisse choisir. Tu n’auras qu’à m’envoyer la facture.

Un mois plus tard, il reçoit une facture de 200 euros, provenant d’un tailleur bruxellois. Il paie cette facture. Le mois suivant, il reçoit à nouveau une facture de 200 euros qu’il ne paie pas, pensant qu’il s’agit d’une erreur. Mais les mois suivants, de nouvelles factures de 200 euros, ainsi que des rappels pour les factures précédentes non payées arrivent…

À ce moment, l’australien passe un coup de fil à son frère cadet et il lui demande :
– Dis-moi, qu’est-ce que tu as fait quand je t’ai demandé de faire quelque chose pour papa lors de ses obsèques ? Je n’arrête pas de recevoir des factures d’un tailleur !

Et le frérot répond :
– Ben tu m’avais dit de trouver quelque chose de bien pour papa, et tu sais comme ça lui plaisait de toujours être bien habillé… Alors je lui ai loué un smoking.

L’enterrement de la belle-mère

Un chef de bureau s’indigne :
– Vous vous moquez de moi ! Hier, vous m’avez demandé un congé exceptionnel pour enterrer votre belle-mère. Et, en réalité, on vous a vu canoter sur le lac du Bois de Boulogne. J’appelle cela de l’abus de confiance, vous m’entendez, de l’abus de confiance.
– Pardon, monsieur, répond l’employé: je me suis peut-être mal exprimé, mais je ne vous ai absolument pas menti.
– Comment ! Vous osez…
– Certainement, monsieur. Rappelez-vous. Je n’ai jamais prétendu que ma belle-mère était morte. J’ai simplement dit que j’aimerais assister à son enterrement.