La call-girl qui avait une urgence

Une call-girl se couche, sûr le coup de trois heures du matin, complètement exténuée. Une heure plus tard, le téléphone sonne. D’une voix pâteuse, elle décroche et répond :
– Allô ?
– Allô, dit une voix, impatiente, ici un de vos bons clients, le Docteur Durand, rue Henri-Martin. Pouvez-vous venir immédiatement chez moi pour un gros câlin ?
– Mais, s’étonne la call-girl, qu’est-ce qui vous prend de m’appeler à une heure pareille ?
– Et alors, nous autres médecins, avons bien le droit, aussi, d’avoir nos urgences.

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