Perles de l’informatique

Les couilles de la souris

Les perles : l’informatique

Le client à la hotline :
« – Bonjour monsieur, vous êtes mon dernier espoir, je ne sais plus quoi faire.
– Je vous écoute.
– Eh bien voilà, je suis embêté, y a un collègue qui m’a fait une blague (petit rire nerveux). Lorsque je clique sur quelque chose, y a une souris avec une paire de couilles énormes qui apparaît à l’écran.
– … (commence à rigoler).
– Et quand j’essaie de cliquer dessus (se marre), cette conne de souris soulève ses couilles et se barre. (les deux commencent franchement à rire) Le pire, c’est que mon patron revient demain de vacances et il va passer dans mon bureau. Quand il verra une souris avec des couilles énormes qui se barre quand je veux cliquer dessus, il va gueuler, ce con ! (Et là, les deux hurlent de rire). »

La cyber confiance

Les perles : l’informatique

La cliente à la hotline :
« – C’est quoi toutes ces saloperies, là, que vous m’avez mises sur mon ordinateur. Je pars une semaine et quand je reviens y a des icônes dégueulasses sur mon écran !
– Madame, nous ne pouvons pas placer des icônes sur votre bureau comme et de plus nous n’avons aucun intérêt à le faire.
– C’est qui alors ?
(On vérifie l’historique : pendant toutes ses vacances, tous les jours il y a eu consultation de plein de sites de cul…, dans l’accès réseau à distance il y a des connexions style « charme » et « cyberbaise »…)
– Ce ne peut être que quelqu’un chez vous, madame.
– C’est pas possible, j’ai demandé à mon mari et à mes fils qui sont restés pendant cette semaine, ils n’ont pas surfé. J’ai confiance en eux.
– Alors il faut prévenir la police, madame. Quelqu’un entre chez vous la nuit.
– Ça doit être ça, j’ai confiance en eux… (Avec un petit doute dans la voix quand même.). »

À son poste de travail

Les perles : l’informatique

La Hotline à une client :
« – Double-cliquez sur « poste de travail ».
– Ah bon, il faut être devant son ordinateur ? non, parce que là je suis au travail.
– Non, c’est pas utile, c’est juste pour emmerder le monde, on aime bien ça. »