Blagues

La blague de l’homme aux peluches

Une femme rencontre un très bel homme dans un bar. Ils parlent, ils ont une connexion entre eux, ils partent ensemble. Ils arrivent chez lui, et il lui fait visiter son appartement, et elle remarque que sa chambre est remplie de petits nounours.

Une centaine de petites peluches sur une étagère qui font toute la largeur du mur ; les tout petits oursons sur l’étagère du bas, les ours moyens, bien rangés sur l’étagère du milieu, et les immensément grandes peluches sur l’étagère du haut.

La femme est surprise de savoir que cet homme a une aussi grande collection d’ours en peluche, elle ne montre pas son étonnement, mais elle reste étonnée de voir le coté sensible de cet homme.

Elle se retourne vers lui… ils s’embrassent… et ils arrachent leurs habits mutuellement et font l’amour passionnément. Après une nuit si intense en ébats et en émotions avec cet homme, ils sont couchés là avec l’esprit un peu dans le brouillard, la femme se retourne dans le lit et lui demande en souriant :
– Alors, heureux ?

Et l’homme lui répond :
– Tu peux choisir n’importe quel lot sur l’étagère du bas.

Le pigeon et le juif

C’est un juif qui, sur le quai d’une station de métro aérien, à le déplaisir de recevoir sur son manteau une fiente de pigeon. Il lève les yeux vers le volatile, et s’exclame :
– Et pour les autres, tu chantes, je suppose…

La blague des cravates de Shabbat

Sarah offre à son fils Salomon deux cravates, une rouge et une bleue. Le vendredi soir suivant, Salomon met la cravate bleue pour venir passer Shabbat avec sa mère. Sa mère lui demande :
– Salomon, la cravate rouge, tu ne l’aimes pas ?
– Mais si maman, les deux cravates que tu m’as offertes me plaisent beaucoup. Et c’est pour ça que j’en porte une aujourd’hui.

La semaine suivante, Salomon met la cravate rouge pour venir passer Shabbat avec sa mère. Sa mère lui demande :
– Salomon, la cravate bleue, tu ne l’aimes pas ?
– Mais si maman, les deux cravates que tu m’as offertes me plaisent beaucoup. Et c’est pour ça que j’en porte une aujourd’hui.

La semaine suivante, Salomon met la cravate rouge et la cravate bleue pour venir passer Shabbat avec sa mère. Sa mère s’exclame :
– Mon fils est devenu fou, il met deux cravates !

Le naufragé anthropophage

Deux naufragés survivent depuis plusieurs jours sur un radeau en plein océan. Un matin, l’un des deux se saisit d’un couteau et commence à couper la jambe de son compagnon qui se met aussitôt à hurler. Alors son agresseur lui répond :
– Oh ta gueule ! Attends un peu, t’auras ta part toi aussi !

Clinton et l’information juive

C’est Clinton qui fait venir son conseiller.
– Dites-moi Henri (c’est son nom, évidement), pouvez-vous m’expliquer la raison pour laquelle les Juifs sont toujours au courant de chaque chose avant tout le monde ?
– C’est tout à fait juste Monsieur le Président, maintenant que vous me le faites remarquer, j’en prends conscience, réponds Henri très inspiré.
– Henri, épargnez-moi vos états d’âme et trouvez-moi la solution pour percer leur secret, s’exclame Clinton excédé par la mollesse de son conseiller. Je vous paye pour vos conseils.

Le lendemain, le conseiller revient l’air ravi et les joues roses, convaincu d’avoir la solution :
– Monsieur le Président, j’ai trouvé, j’ai trouvé ! Lance Henri sur un ton triomphateur. La solution consiste à s’infiltrer dans les milieux juifs, en clair à réussir à se faire passer pour un juif, explique le conseiller un peu évasif.
– Admettons, rétorque Clinton, mais de quelle façon ?
– Monsieur le Président, on va vous déguiser en juif et de cette manière il vous sera aisé de vous mélanger parmi ces derniers, d’ajouter Henri de plus en plus enclin à espérer une augmentation.
– Admettons, répète le Président, mais sur quel terrain pourrais-je agir, poursuit-il incrédule.
– On va vous déposer samedi matin, jour du Shabbat devant une grande synagogue et ainsi il vous sera facile de rentrer en contact avec vos, pardonnez-moi la plaisanterie « coreligionnaires », s’esclaffe Henri, et d’obtenir des informations.

Satisfait de cette idée, Clinton demande à ce que l’on fasse venir un déguiseur. On déguise donc le président comme un juif orthodoxe, barbe noire, papillotes, chapeau, manteau sombre, etc…, tant et si bien que même Clinton à du mal à se reconnaître quand il se regarde dans un miroir.

Le tour est joué, et que cela tombe bien, le lendemain c’est samedi. Donc on conduit Clinton devant la grande synagogue. Evidemment il est un peu perdu au milieu de cette foule de barbus qui arrivent pour accomplir l’office du matin. Aussi il suit le mouvement et pénètre dans le Temple. Ne sachant comment agir et l’attitude un peu gauche, un juif sympathique s’approche de lui :
– Shabbat Chalom, lui dit-il, tu me sembles mal à ton aise ?
– Euh, effectivement je suis nouveau dans cette ville, balbutie le Président, et je ne connais pas les habitudes de votre synagogue, conclu t-il un peu angoissé.
– Ne te fais pas de souci, ici c’est comme dans toutes les synagogues le samedi matin, de conclure le religieux.

Alors Clinton se dit que l’occasion est trop propice et discrètement :
– Sans vouloir te déranger, et comme je suis nouveau ici, te serait-il possible de m’apprendre une petite nouvelle, un scoop, quelque chose que je ne saurais pas ? Se hasarde le Président avide de percer le fameux secret.
– Oui, mais alors tout à fait entre nous, lui susurre le juif à l’oreille en observant de chaque côté afin d’affirmer sa discrétion, il paraît que le Président Clinton va venir à la synagogue !