Blagues

La blague du surnom des maris

Au cours d’une réunion Tupperware, après quelques Martini, trois jeunes femmes en viennent à discuter de leurs maris respectifs. En rigolant, la première, un peu bourrée, dit :
– Moi je le surnomme « Le dentiste » parce que personne ne peut me remplir les cavités comme lui !
– Moi je le surnomme « Le mineur », dit la deuxième en rigolant, parce que personne ne sait se servir de son manche comme lui !

Elles regardent alors la troisième qui n’ose pas prendre la parole.
– Et toi alors ? Lui demandent-elles, tu ne donnes pas de surnom à ton mari ?
– Si, si, dit-elle enfin, je l’appelle « Le facteur »…
– Pourquoi donc le facteur ?
– Parce que quand il met le paquet, la moitié du temps, c’est dans la mauvaise boite.

Le sexe en Angleterre

Un groupe d’élèves de quatrième en Belgique a l’occasion de partir pour 15 jours en séjour linguistique en Angleterre. Les élèves sont reçus dans des familles d’accueil et ne se voient que pour quelques heures de cours chaque matin. Un beau jour, le jeune Rudy se confie à son copain Matthias :
– Oh dis donc fieu, hier soir, j’ai bien cru que j’allais me faire la fille de la maison dans laquelle je suis hébergé !
– Ah ouais ? Et pourquoi ça a capoté ?
– Eh ben, si tu veux, elle était chaude et tout : elle m’appelait « OH RUDY », « OH RUDY » pendant que je l’embrassais… Et puis je me suis mis à la caresser entre les jambes et c’est là que ça a déconné…
– Comment ça ?
– Elle s’est mise à crier « OH MY GOD ! OH MY GOD ! »… Alors moi, qu’est-ce que tu veux, j’en avais tellement marre de l’entendre brailler comme ça que je suis allé lui en chercher un !

La blague de la danse juive

Un couple se prépare à être converti par un rabbin orthodoxe. Ils se retrouvent pour la dernière réunion préparatoire. Le rabbin leur demande s’ils ont des questions à poser. Le mari en a une :
– Est-il vrai que les hommes et les femmes ne peuvent pas danser ensemble ?
– Oui, c’est tout à fait vrai : pour des raisons de décence, les hommes et les femmes doivent danser séparément !
– Ca veut dire que je ne pourrai plus danser avec ma femme ?
– C’est cela.
– Hmmm. Et qu’en est-il des relations sexuelles ?
– Pas de problème, du moment que ça reste dans le cadre du mariage.
– On ne dit rien sur les différentes habitudes sexuelles ? Sur les positions par exemple ?
– Non rien de spécial…
– Pas de problème pour la position du missionnaire ?
– Non.
– Ni pour la levrette ?
– Non plus…
– Et en position debout ?
– Ah ça NON… ! Ca pourrait conduire à la danse !

La blague du prix de la fellation

Monsieur le curé soupçonne un de ses fidèles de la messe du dimanche, de se servir dans la corbeille de la quête plutôt que d’y déposer son obole. Aussi, lorsque l’enfant de chœur passe dans l’assemblée, le prêtre surveille ce qui se passe du coin de l’œil… Et hop, il aperçoit le jeune Eric qui subtilise un billet de 10 euros qui avait été placé là à desseins par le curé !

Furieux, le prêtre alpague le fidèle malhonnête à la fin de la messe et l’invite à se rendre au confessionnal sur-le-champ. Là, le jeune Eric avoue :
– Je suis désolé Mon Père, j’ai pris cet argent pour me faire faire une fellation.

Monsieur le curé lui demande de rendre l’argent, et le renvoie avec des pénitences. Mais ne sachant pas ce qu’est une réellement une fellation, il décide de demander des explications à Sœur Marie-Bénédicte, sa copine du couvent des Ursulines, chez qui il va manger chaque dimanche.

Le même jour à midi, il arrive chez les sœurs et demande aussitôt :
– Ah Sœur Marie-Bénédicte, vous tombez bien : un de mes fidèles m’a avoué au confessionnal qu’il avait volé 10 euros pour se faire faire une fellation.

Alors Sœur Marie-Bénédicte sursaute d’étonnement et lui répond :
– 10 euros ? Je me demande qui casse les prix comme ça en ville !

La blague de l’observation

Un chef de clinique emmène ses étudiants en première année de médecine à la morgue. Une fois sur place, il se met devant un cadavre et leur dit :
– Pour être médecins, il faut avoir deux qualités : La première, ne jamais être dégoûté. Alors vous allez tous faire ce que je vais faire devant vous.

Sur ces mots, il s’approche du macchabée, lui fait un doigté rectal et suce son doigt. Les internes sont plutôt réticents, mais bon, quand il faut y aller, il faut y aller. Une fois que tous s’y sont bien collés, le chef de clinique poursuit :
– La seconde qualité, c’est l’observation. Un bon sens de l’observation évite souvent de faire des erreurs que l’on va regretter par la suite. Aussi ai-je mis mon majeur dans l’anus du macchabée et ai-je sucé mon index…