Blagues

La blague du vagin élargi

Un couple est marié depuis 15 ans et a toujours eu une vie sexuelle régulière et de très bonnes relations. Un soir, après avoir fait l’amour, l’homme dit à sa femme :
« Tu sais, après avoir eu nos trois enfants, ton vagin n’est plus aussi étroit qu’il l’était au début de notre mariage. »

Comme cela était dit sur un ton très précautionneux, la femme ne s’est pas trop sentie vexée.

Le jour suivant, pour continuer à donner du plaisir à son mari, elle décide de consulter le gynécologue afin de savoir ce qu’elle pourrait faire contre les dégâts occasionnés par les grossesses et accouchements successifs.

Le gynécologie après l’avoir examiné lui propose deux solutions :
– La chirurgie réparatrice (efficace, rapide mais très douloureux)
Ou :
– Des exercices très spécifiques pour remuscler exclusivement la région concernée

La femme opte pour les exercices physiques. Elle rentre chez elle avec une liste d’instructions détaillées. Sans attendre, elle commence à suivre les recommandations :

1 ) Se déshabiller
2 ) Placer un miroir sur le sol.
3 ) S’accroupir au dessus du miroir, contracter les muscles de la région et regarder les effets de ces contractions.

A ce moment très précis, le mari entre. Le mari est surpris de voir sa femme dans cette position. Il lui dit :
« Bonjour chérie, tu peux me dire ce que tu fais ? »

Elle répond :
« Oh, ça ? Eh bien, j’ai été voir le gynéco qui m’a prescrit des exercices à faire pour resserrer mon vagin. »

Et son mari lui répond :
« Ah d’accord. Je te laisse travailler alors. Mais fais juste attention à ne pas tomber dans ce grand trou dans le parquet. »

Le déménagement de Von Neumann

On rapporte une anecdote concernant la vie de Von Neumann, grand mathématicien américain de ce siècle.

Comme tout personnage reconnu doté d’un génie hors de la norme, notre sympathique savant s’efforçait de ne consacrer aux activités journalières qui nous préoccupent tous qu’un minimum d’attention, qui tendait vers 0 lorsque « t » tendait vers l’infini.

Il arriva un jour qu’il devait déménager, sa femme ayant géré toute l’opération depuis son début, tint à indiquer à notre savant cosinus l’adresse de leur nouveau home sweet home : elle la nota soigneusement sur un bristol qu’elle glissa dans la poche droite de son savant logarithme de mari. L’égérie du génie laissa son protégé au matin non sans lui rappeler qu’il quittait cette maison pour toujours.

Mais ce qui devait arriver arriva, et c’est là que les athéniens s’éteignirent. Une géniale idée traversa le génial cerveau du génial savant. La saisissant au vol, le savant exponentiel la nota sur un bout de papier qui traînait dans sa poche droite. Mais après avoir nettoyé ses lunettes, la géniale idée devint bête comme choux et le papier la supportant finit sa trajectoire parabolique dans une corbeille heureusement placée.

Le soir venu, notre hyperbolique savant quitta son travail et rentra chez lui. Comme vous l’avez tous deviné, il trouva porte close. En plein désarroi, il accosta une petite fille qui jouait à la marelle sur le trottoir
– Dis-moi petite, je suis Monsieur Von Neumann, j’habitais ici, est-ce que tu sais ou j’habite ?
– Oui papa, maman m’a dit de venir t’attendre ici.

Les souvenirs du vieux soldat

Un ancien soldat allemand de la deuxième guerre mondiale revient dans un village français ou il était affecté. Il rentre dans un bar, et engage la conversation avec la table voisine.
– Ach ! La kerre, kross malheur cette kerre. J’étais stazionné ici pentant la seconde kerre montiale.

Et à la table d’à côté, il y a un vieux sourd comme un pot, avec un jeune…
– Qu’est-ce qu’il dit ? Fait le vieux.
– Il dit que la seconde guerre mondiale était un malheur, rétorque le jeune.
– Ja, mais fotre fillage est magnifique. Je le connaissais très pien.
– Comment ? Fait le vieux.
– Il dit qu’il connaît bien le village, il y était…
– Mais alors, fait le vieux, il connaît sûrement Pierrette Dupuis ?
– Ach, ja ! Pierrette Dupuis, ja… Un frai folcan, cette femme. Ich habe un exzellent soufenir.
– Quoi ? Fait le vieux.
– Il dit qu’il connaît bien Maman, Papa !