Blagues

La blague de la guérite ouverte

Un cadre dirigeant, sur la fin de sa carrière, reçoit une nouvelle secrétaire toute jeunette et pimpante (car elle était de Paimpol).

Comme le cadre lui dicte le courrier, un beau matin, la mignonne s’aperçoit que le cher homme a sa brayette ouverte. Elle rougit, ne sachant comment l’informer de sa tenue négligée puis, soudain, elle a une idée :
– Monsieur, dit-elle, la porte de la guérite est ouverte…

Notre cadre, plongé dans la concentration requise par l’importance du courrier auquel il doit répondre, entend la belle enfant, mais ne saisit pas la portée de sa remarque.

Cependant, en fin de matinée, son regard tombe sur le corps du délit, et, tout à coup, la lumière se fait ! Tout gaillard, souriant de sa relative infortune, il appelle sa jeune secrétaire sur l’interphone, et lui dit, finaud :
– Mademoiselle, ce matin, quand vous avez mentionné cette guérite dont la porte était ouverte… N’avez-vous pas également remarqué un beau militaire au garde-à-vous ?
– Non Monsieur, rétorque la belle enfant. Tout ce que j’ai vu, c’est un ancien combattant handicapé assis sur deux vieux sacs à paquetage…

La blague du Corse qui travaille

C’est un corse qui cherche du travail (si si, ça peut exister…).

Connaissant la route nationale 196 qui va d’Ajaccio à Bonifacio, il se décide d’aller voir si par hasard, il n’y aurait pas un boulot pour lui à l’équipement.

On lui propose de peindre des bandes blanches tout le long de la route. Il accepte.

Le 1er jour : il fait 100 mètre de ligne blanche.
Le 2ème jour : il fait 50 mètres
Le 3ème jour : il fait 25 mètres
Le 4ème jour : il fait 10 mètres

Le 5ème jour, le chef vient le voir et lui dit :
– OK, pour le premier jour. 100 mètres c’est pas tellement, mais ça passe. Mais les jours suivants, pourquoi as-tu diminué les métrés ?

L’autre lui répond :
– Chef, plus j’avance et plus le pot de peinture est loin…