Blagues

La maison de campagne du parisien

Un parisien possède une maison de campagne. On lui conseille d’acheter un chien de garde pour éloigner les voleurs pendant la nuit.
– Croyez-vous que je vous ai attendu pour y penser ? J’ai trouvé mieux et sans bourse déliée.
– Comment ?
– Toute la nuit, j’imite les aboiements d’un chien. Comme cela, je suis tranquille pendant mon sommeil.

Le fantasme du voyageur de commerce

Un voyageur de commerce a décidé une jolie fille, rencontrée par hasard, à le suivre dans sa chambre d’hôtel. Il s’assied sur le lit et regarde sa compagne se déshabiller. Lascivement, elle fait glisser la fermeture de sa jupe qui tombe à ses pieds et elle apparaît en petit slip rose tandis qu’elle déboutonne son pull qu’elle envoie d’un geste large à l’autre bout de la pièce.

Manifestement, elle prend plaisir à ce strip-tease. Elle se débarrasse de son soutien-gorge et roule son mini-slip. Elle est nue. Radieuse, elle se tourne vers son voyageur de commerce qui, lui, ne semble pas prendre le même plaisir au spectacle qui, pourtant, en vaut la peine :
– Eh ben, alors ? lui lance-t-elle, déçue.
– Va dans la salle de bains ! Mets des bigoudis et une couche de crème sur ta figure. Reviens dans la chambre et engueule-moi ! Faut pas m’en vouloir, mais j’ai la nostalgie de la maison, ce soir !

Les deux tranches de rôti

Dans un restaurant, un client appelle le garçon et lui dit :
– Excusez-moi, je suis un habitué de la maison et le cuisinier me donne toujours deux tranches de rôti.
– Je vais voir ça, monsieur.

Le garçon revient au bout d’un instant et dit :
– Le cuisinier vous présente ses excuses : il avait oublié de couper votre tranche en deux.

La bedaine des hommes mariés

Pourquoi les hommes mariés ont-ils une bedaine et les célibataires n’en ont pas ?

Parce que le célibataire qui rentre chez lui à 4 heures du matin, ouvre la porte du frigo et se dit : « Bah, je ne mange pas, je vais me coucher. »

L’homme marié lui, quand il rentre chez lui à 4 heures matin, ouvre la porte de sa chambre, regarde sa femme et se dit : « Bah, je vais aller manger. »

La beauté pratique

Une baigneuse d’une beauté percutante était allongée au soleil sur le sable. Une mère de famille passe, tenant par une main, sa petite fille et de l’autre un pliant. Elle apprécie du regard les charmes de la jolie baigneuse et se décidant aussitôt :
– Puis-je m’asseoir près de vous, mademoiselle ? J’ai rendez-vous avec mon mari sur la plage et j’ai peur qu’avec cette cohue, il ne me trouve pas.