Blagues

La chirurgie du golf

Dans une clinique, deux hommes attendent. Pour passer le temps, ils se mettent à discuter :
– Qui opère-t-on en ce moment ? demande l’un.
– Mon père. Ce matin, il a malencontreusement avalé une balle de golf.
– Ah ! Et qui est ce monsieur très agité qui fait les cent pas dans le couloir ?
– C’est le propriétaire de la balle. Il voudrait bien finir sa partie…

La blague de l’alcool au travail

Pourquoi faut-il boire de l’alcool au travail ?

– Ça augmente le taux de satisfaction au travail car même si vous n’aimez pas le job, vous vous en foutez.
– Ça élimine les vacances, car les mecs aiment mieux venir prendre leur bière au travail.
– La nourriture de la cafétéria paraît meilleure.
– Les boss qui boivent seront plus généreux lors des augmentations de salaire.
– Les négociations salariales sont beaucoup plus faciles.
– Roter pendant une réunion n’est plus remarqué.
– Les employés travaillent plus longtemps, car ils n’ont plus envie d’aller au bar après le travail.
– Ça élimine le fait que les employés se soûlent pendant leur pause repas.
– Ça augmente les chances de voir votre boss nu(e).
– Les employés n’auront plus besoin de café pour se dessoûler.
– S’asseoir les fesses nues sur la photocopieuse ne sera plus interdit.
– Marmonner et se répéter sans cesse deviendra langage courant…
– C’est un incitatif merveilleux.
– Cela réduit le stress et l’angoisse.
– Ça encourage de meilleures communications.
– Ça réduit les critiques envers les bas salaires
– Ça permet aux employés de dire ce qu’ils pensent des boss, et non ce que les boss veulent entendre.
– Ça réduit les coûts de chauffage en hiver.
– Ça encourage le co-voiturage.

La consultation écossaise

À minuit, le téléphone sonne chez un petit médecin de la banlieue d’Edimbourg, en Écosse.
– Je suis bien chez le docteur Burns ?
– Oui, monsieur.
– Ici le professeur MacGrégor. Pourriez-vous venir tout de suite me voir : je ne me sens pas bien.
– Mais certainement, professeur ! Mais puis- je savoir pourquoi vous me faites appeler, moi, un petit médecin de quartier ?
– Bien sûr, cher confrère. La raison est que je pratique des tarifs si élevés que je n’ai pas les moyens de me soigner moi-même.