Blagues vieux

La tronche de la vieille

Au repas des anciens organisé par la mairie de la ville, une vieille dame discute avec son voisin de table. Beau parleur, ce dernier lui lance ce compliment :
– Depuis vos vingt printemps, vous n’avez pas changé, chère madame…
– Eh bien, mon cher monsieur, à vingt ans, je devais avoir une drôle de bobine ! lui réplique-t-elle, vexée.

Le vieux dragueur

Un vieux monsieur fait sa promenade digestive qui mène, comme chaque jour, vers trois jeunes femmes qui discutent sur un banc. L’une d’elles l’apostrophe :
– Vous n’avez pas honte à votre âge de suivre les dames ?
– Ah, mes jolies… Quand le temps nous en retire les moyens, il devrait aussi nous en retirer les idées !

Humour debout

Que de monde pour cette fête très chic, bon genre ! Le maître de cérémonie s’approche d’une personne âgée, mais non dépourvue d’humour, qui vient juste d’arriver.
– Cher ami, avez-vous de quoi vous asseoir ?
– Oh oui ! Là n’est pas le problème. Mais où le poser ?

La blague du placebo

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Dans une maison de retraite, une pensionnaire se plaint toujours qu’elle ne supporte pas les médicaments qu’on lui donne, quel que soit le remède ; chaque fois que le médecin-chef passe dans sa chambre, c’est la même rengaine :
– Docteur, je ne supporte pas vos médicaments !

Un jour, le toubib excédé dit à son interne :
– Ecoutez, pour notre pensionnaire qui se plaint toujours de ne rien supporter, vous allez filer à la pharmacie et demander qu’on lui fabrique des placebos sous forme de comprimés à base de mie de pain et on les lui donnera…

On fait les comprimés, la malade les avale et lors de la visite de la semaine, elle se plaint au médecin-chef :
– Docteur, je ne supporte pas vos nouveaux comprimés !

Le toubib furieux s’écrie :
– Alors là, vous exagérez, Mademoiselle, ils ne peuvent rien vous faire, absolument rien, ce n’est que de la mie de pain…

Alors, la pensionnaire de rétorquer :
– Vous voyez que j ’ai raison, docteur, je ne supporte que les biscottes !

La mamie du Net

Une petite fille écrit un mail à sa grand-mère :
« Ma petite mamie, c’est super Internet. Je ne serais plus obligée de venir te voir pour avoir de tes nouvelles et tu peux m’envoyer mon argent de poche en un clic. »

Sa grand-mère lui répond :
« Super ma chérie. Je te scanne un billet de 50€, que je t’envoie en pièce jointe. Gros bisous de ta mamie virtuelle ! »