Blagues religion

Les maçons et la religieuse

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Il y avait un immeuble en construction juste à côté d’un couvent de carmélites.

Une vieille religieuse avait remarqué au cours de ses promenades dans la cour du couvent, que le langage des ouvriers n’était pas vraiment châtié et qu’il se rapprochait même le plus souvent de l’ordurier.

Se disant qu’il lui suffirait de passer quelques temps avec eux pour corriger leurs habitudes, elle entreprit de les retrouver pour la pause déjeuner, elle prendrait alors son repas avec eux.

Aux environs de midi, elle approcha du groupe des maçons avec un grand sourire et leur dit :
« Est-ce que l’un de vous connaît Jésus ? »

Se regardant les uns les autres et s’interrogeant du regard, personne ne semblait connaître Jésus. Un des ouvriers cria alors en direction du groupe des charpentiers qui mangeait plus loin :
« Hé les gars, y a quelqu’un connaît un ‘Jésus’ ? »

Un des gars demande alors pourquoi. Et le maçon répond :
« Y’a sa femme qui est ici avec son déjeuner. »

La concierge de Dieu

Rassemblés autour du curé, les enfants assistent à une leçon de catéchisme. Le curé leur demande :
– Qui voit tout, sait tout et entend tout ?

Et les gamins répondent tous en choeur :
– La concierge…

Et la lumière fût…

Ce sont deux témoins de Jéhovah (ils vont toujours par paire) qui frappent à la porte. Un homme vient ouvrir et demande : « Que voulez-vous ? »

Le témoin de Jéhovah répond : « Mon frère nous t’apportons la lumière »

L’homme se retourne et appelant sa femme lui dit : « Chérie c’est la compagnie d’électricité ! »

La Cage aux Folles à l’église

Renato, le patron de la Cage aux Folles, assiste aux obsèques d’une connaissance.

Renato est accompagné de sa dernière conquête, un jeune mannequin très « Tata » mais avec un cerveau gros comme un pois chiche.

Voyant Monsieur le curé qui traverse l’allée centrale avec son ostensoir, le jeune éphèbe pouffe de rire, donne un coup de coude à Renato et lui dit à l’oreille :
– On va rire ! Regarde ! Y a le feu dans son sac à main !

Les billets de banque du Paradis

A l’entrée du Paradis, Saint Pierre dit à un nouvel arrivant qui se présente, les poches bourrées de billets de banque :
– Non, non, votre proposition de nous installer gratuitement le chauffage central, si l’on vous accepte parmi les élus, ne m’intéresse pas du tout. En revanche, allez donc agiter votre fortune sous le nez du patron de l’entreprise concurrente, au sous-sol. J’ai entendu dire qu’il songe, depuis longtemps, à s’équiper de ventilateurs.