Blagues politique

Discuter de la guerre en Irak

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Ça se passe à l’ONU en pleine discussion sur l’Irak. Question existentielle : Saddam Hussein possède-t-il réellement des armes de destruction massive et faut-il exploser tout l’Irak ?

Dominique de Villepin et son homologue américain Colin Powell discutent apremement d’une éventuelle résolution permettant aux USA d’attaquer l’Irak.

Petit à petit le conflit dégénère. Pas moyen de se mettre d’accord.

Ça gueule, ça hurle, ça manifeste, ça se traite de tous les noms d’oiseaux jusqu’au moment où Colin Powell propose une solution :
– Ecoutez, on va faire un concours. Celui qui supporte le plus la douleur aura gain de cause. Alors, on se frappe dans les couilles, et le premier qui dit qu’il a mal, il a perdu et il accepte que l’autre fasse ce qu’il veut. Ça va comme ça boy ?
– C’est d’accord. Mais c’est moi qui frappe en premier, honneur au vieux continent ?

L’américain ayant acquiescé, Dominique de Villepin assène un formidable coup de latte en plein dans les roubignoles du secrétaire d’Etat américain.

Colin Powell a bien du mal à retenir un cri de douleur tellement le coup était puissant. Il est tout rouge (rouge foncé évidemment…), plié en deux, puis il passe au bleu (toujours le bleu sombre…), est plié en quatre, et finit par se relever, livide (c’est à dire blanc foncé…) mais fier d’avoir enduré la souffrance si héroïquement.

Alors il se dirige vers le français et dit :
– Bon, c’est mon tour, hein ?

Et de Villepin de répondre avec un petit sourire narquois :
– Bah, non… Finalement vous pouvez faire ce que vous voulez…

La blague de la nuit avec Macron

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Dans une discothèque, le Président Macron rencontre trois filles. Une rousse, une blonde et une brune. S’asseyant à côté de la rousse, il lui posa cette question :
« Je suis Emmanuel Macron, Président de tous les Français. Combien demandez-vous pour passer la nuit avec vous ? »

La rousse lui répond :
« A vous, Monsieur le Président, seulement 200 euros ».

Puis s’asseyant à côté de la blonde, il lui posa la même question. Elle répondit :
« A vous, Monsieur le Président, seulement 100 euros ».

Enfin il alla s’assoir près de la brune, et lui posa la même question. Celle-ci lui répondit :
« Monsieur le Président, si vous pouvez relever ma jupe aussi haute que sont les impôts, abaisser mon slip aussi bas que les salaires, sortir votre chose et la rendre aussi dure que le coût de la vie, la maintenir aussi forte que le sont les prix et me la mettre aussi doucement et aussi délicatement que vous le faites en enculant le peuple français, alors pour vous, Monsieur le Président, ce sera gratuit. »

Le fromage à 0%

Les perles : la politique

« 0% pour un fromage, c’est bon pour la santé mais pas pour un sondage présidentiel. »

Jean-Christophe Lagarde, vice-président du Nouveau Centre, à propos de la candidature Morin en 2011

La guerre du Général de Gaulle

Le Général de Gaulle reçoit son ministre Michel Debré.

« Je suis très inquiet pour la France, dit le Général. Les finances sont très basses, le chômage augmente, les français sont démoralisés… Avez-vous une idée pour redresser la situation, mon cher Michel ? »

« Ben, oui, j’en ai bien une, » répond Debré, « mais je ne sais pas si elle va vous convenir… »

« Dites toujours », lance le Général.

« Voilà : remarquez qu’après une guerre, quand un pays a été bombardé, ruiné, dévasté etc… ce pays après coup renaît de ses cendres et s’enrichit d’autant plus qu’il a pris une énorme pâtée… »

« Et alors, que proposez vous ? » questionne le Général.

« Voilà : Dans un même temps, on pourrait déclarer la guerre à l’URSS, aux Etats-Unis et à la Chine… »

« Mouais », répond le Général. « Mais… si on gagne ?… »

Les prévisions de la troisième guerre mondiale

Georges W. Bush et Tony Blair sont en grande discussion lorsque Chirac arrive.
– Vous semblez très occupés, chers collègues…
– On est en train de préparer la troisième guerre mondiale.
– Ah ! Vous en êtes où ?
– On n’a pas encore décidé les détails, mais le but est d’exterminer 14 millions de musulmans et un informaticien.
– Un informaticien ? Pourquoi voulez vous exterminer un informaticien ?

Blair regarde Bush :
– T’as vu ce que je disais ? Personne ne nous posera de questions sur les 14 millions de musulmans…