Blagues politique

La blague du sauvetage de Macron

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C’est trois copains qui font du ski sur un glacier. Ils entendent crier « au secours, au secours… ».

Ils s’approchent et aperçoivent Macron accroché au bord de la crevasse en train de glisser. Celui-ci leur
Dit : « Aidez-moi les gars, je vais tomber… »

Les trois gars se disent, il faut à tout prix sauver notre président de la République et ils le remontent… Le Président leur dit alors : « Merci les gars. Vous pouvez me demander ce que vous voulez. »

Le premier lui dit : « Je voudrais un VTT dernier cri ! »

« Pas de problème, répond Macron, tu auras ton VTT. »

Le deuxième lui dit : « Je voudrais un surf de la dernière génération ! »

Même réponse du président : « Tu auras ton surf. »

Et Macron dit au troisième : « Et toi ? »

Le gars répond : « Moi, je voudrais un enterrement de première classe ! »

Macron le regarde éberlué et lui dit : « Mais….pourquoi tu veux un enterrement de première classe ? »

Parce que si je rentre à la maison et que je dis à mon père qui est à la retraite que j’ai sauvé Macron, il me tue !

Le secret du Ministre

Un journaliste s’approche d’un homme politique à sa descente de voiture.
– Monsieur le Ministre, pouvez-vous dire à nos auditeurs quelles seront les nouvelle mesures restrictives du gouvernement ?

Le Ministre s’arrête un moment, regarde le journaliste, et lui dit :
– Vous savez garder un secret ?

Le journaliste interloqué :
– Euh… euh… oui !
– Eh bien moi aussi !

Discuter de la guerre en Irak

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Ça se passe à l’ONU en pleine discussion sur l’Irak. Question existentielle : Saddam Hussein possède-t-il réellement des armes de destruction massive et faut-il exploser tout l’Irak ?

Dominique de Villepin et son homologue américain Colin Powell discutent apremement d’une éventuelle résolution permettant aux USA d’attaquer l’Irak.

Petit à petit le conflit dégénère. Pas moyen de se mettre d’accord.

Ça gueule, ça hurle, ça manifeste, ça se traite de tous les noms d’oiseaux jusqu’au moment où Colin Powell propose une solution :
– Ecoutez, on va faire un concours. Celui qui supporte le plus la douleur aura gain de cause. Alors, on se frappe dans les couilles, et le premier qui dit qu’il a mal, il a perdu et il accepte que l’autre fasse ce qu’il veut. Ça va comme ça boy ?
– C’est d’accord. Mais c’est moi qui frappe en premier, honneur au vieux continent ?

L’américain ayant acquiescé, Dominique de Villepin assène un formidable coup de latte en plein dans les roubignoles du secrétaire d’Etat américain.

Colin Powell a bien du mal à retenir un cri de douleur tellement le coup était puissant. Il est tout rouge (rouge foncé évidemment…), plié en deux, puis il passe au bleu (toujours le bleu sombre…), est plié en quatre, et finit par se relever, livide (c’est à dire blanc foncé…) mais fier d’avoir enduré la souffrance si héroïquement.

Alors il se dirige vers le français et dit :
– Bon, c’est mon tour, hein ?

Et de Villepin de répondre avec un petit sourire narquois :
– Bah, non… Finalement vous pouvez faire ce que vous voulez…