Blagues nationalités

Le prix du miracle

Mc Gregor va voir un guérisseur pour ses problèmes de dos qui le font tant souffrir. Le praticien s’avance, le regarde profondément, dit une formule magique et lui annonce :
– Kssss… Voilà, vous êtes guéri. Cela fera 100 euros !

Mc Gregor fait alors :
– Kssss… Voilà, vous êtes payé !

La blague du vol de Moïse

Le conflit israëlo-palestinien a motivé, une fois de plus, une réunion d’urgence à l’ONU.

La parole est donnée à l’ambassadeur Israëlien :
– Mesdames et messieurs, Avant de commencer mon discours, je voudrais narrer une vieille histoire… Lorsque Moïse conduisait les Hébreux hors d’Égypte, il dut traverser des déserts, et des prairies, et encore des déserts… Son peuple était éreinté et avait besoin d’eau. Alors Moïse frappa la roche d’une montagne de sa canne, et au bord de cette montagne apparut un bassin rempli d’une eau fraîche claire comme le cristal. Le peuple s’en réjouit et tous burent pour leur plus grande satisfaction. Moïse souhaita alors nettoyer son corps ; pour ce faire, il alla à l’autre bout du bassin, enleva tous ses vêtements et plongea dans les eaux fraîches de la mare. Quand Moïse sortit de l’eau, il se rendit compte que ses vêtements avaient été volés…

L’ambassadeur Israélien marque alors une pause, puis il reprend :
– Eh bien, j’ai toutes les raisons de croire que ce sont les Palestiniens qui avaient volé ses vêtements !

L’ambassadeur Palestinien manque de s’étouffer en entendant cette accusation. Il saute alors de son siège et crie :
– C’est un mensonge. Tout le monde sait qu’il n’y avait pas de Palestiniens à cette époque !!!

Alors l’ambassadeur d’Israël reprend :
– Et avec cela à l’esprit, laissez-moi maintenant commencer mon discours…

La blague du soleil de Staline

Joseph Staline savoure son accession au pouvoir du balcon du Kremlin. Au petit matin, il entend une voix :
– Staline ! Maître de toutes les Russies, je te salue !

Satisfait, il va prendre un copieux petit déjeuner dans sa datcha puis revient au Kremlin où il prend l’air sur son balcon. La même petite voix l’interpelle :
– Staline ! Maître de toutes les Russies, je te salue !

En fin d’après-midi, à l’heure où le soleil décline à l’horizon, Staline retourne sur son balcon, mais la petite voix s’est tue…
– Enfin Soleil, au levant, tu me salues ; au zénith, tu me salues et, au couchant, tu m’ignores ?
– Maintenant que je suis passé à l’Ouest, je t’emm… !