Blagues nationalités

La transfusion écossaise

Un milliardaire anglais est atteint d’une maladie rare : seule la transfusion du sang d’un homme qui a exactement le même que lui, peut le sauver.

On en trouve un. C’est un Écossais. Il accepte. Le milliardaire lui envoie immédiatement un chèque de cent mille livres. La transfusion est effectuée. L’Anglais est sauvé.

Cinq ans plus tard, rechute. On va retrouver l’Écossais. Il accepte. L’Anglais lui envoie un chèque de cent livres. L’Écossais lui téléphone :
– Merci de votre chèque mais pourquoi cent livres ? La dernière fois, vous m’avez envoyé cent mille livres.

L’Anglais :
– Oui, en ce temps-là, je n’avais pas de sang écossais dans les veines.

Le pompiste belge

Un automobiliste français s’arrête pour faire le plein dans une station-service belge, il demande au pompiste :
– Quand vous aurez fait le plein, pouvez-vous vérifier les pneus ?

Le pompiste s’exécute, remplit le réservoir, puis fait le tour de la voiture :
– Un, deux, trois, quatre… C’est bon, une fois, vous pouvez rouler sans risque, ils sont tous là !

Papier peint écossais

Un Écossais est en train de décoller le papier peint de son salon. Le voisin, un peu étonné, lui demande :
– Super, vous refaites votre maison. Vous allez poser un nouveau papier ?
– Non, non pas du tout… Mais on déménage et ma femme adore ce papier, donc on l’emporte.

L’iPad corse

Un jeune Corse s’adresse à son père :
– Dis papa, pour la rentrée des classes, il faut que tu m’achètes un iPad.
– Dis Monique, tu l’entends le petit ? Il veut un iPad pour aller à l’école !
– Oh bé ! c’est la nouvelle génération, ça.
– Ta mère est d’accord avec moi… Un iPad, et puis quoi encore ? Espèce de petit feignant, tu feras comme toute ta famille, tu iras à l’école… à pied !

La chaise en panne électrique

Aux États-Unis, le directeur est bien embarrassé au moment de l’exécution d’un condamné à mort : la chaise électrique est en panne. On appelle un électricien qui bricole quelques fils puis suggère au condamné :
– Voulez-vous vous asseoir un instant, s’il vous plait, c’est juste pour un essai.