Blagues nationalités

La femme aux points noirs à l’intérieur des cuisses

C’est l’histoire d’une femme qui se réveille avec deux points noirs à l’intérieur des cuisses. Elle va voir son médecin qui après une analyse minutieuse de la chose va chercher un pot rempli d’éther. Avec un coton, il lave la tâche et demande à la patiente :
– Votre mari, c’est un gitan ?
– Oui !
– Hé bien, vous lui direz que ses boucles d’oreilles ne sont pas en or !

L’italien au restaurant

C’est un italien qui entre dans un restaurant. Il s’assoit, s’installe et aussitôt le serveur arrive et lui demande :
– Oui monsieur ? Vous avez choisi ?
– Jé voudrais, ouné tranche dé foie dé veau… comment on dit en français, ouné tranche dé foie dé veau…

Le serveur lui fait :
– Persillée ?
– Non pas persillée ! Per manger !

Le train russe des Secrétaires Généraux

Un train imaginaire qui transporte Lénine, Staline et Brejnev, traverse l’URSS, et soudain il est bloqué par une congère.

Lénine descend, constate les dégâts, fait descendre tout le monde :
– Retroussons nos manches, et dégageons la voie. Et le train repart.

Plus tard, le train stoppe à nouveau. Staline descend, constate, fait arrêter un passager sur dix. Les prisonniers dégagent la voie, puis on les fusille. Le train repart.

Lorsqu’il s’arrête à nouveau, Brejnev descend, constate. Il fait fermer tous les rideaux, et secouer les wagons de temps en temps, pour faire croire que le train roule toujours.

Le polonais parachutiste

Un Polonais s’inscrit à un club de parachutisme.

Pour son premier saut, l’instructeur lui dit :
– Dès que tu as sauté de l’avion, tu gueules « GERONIMO » et tu tires sur la poignée d’ouverture, ok ?
Le Polonais saute, mais rien ne se passe et il se ramasse dans une meule de foin.

En se réveillant de son coma, quelques jours plus tard, sa première parole a été pour gueuler :
– Quel est le nom de ce %#$&*% d’indien !

Les risques du travail forcé

Dans un atelier clandestin de la rue du Sentier où des émigrés sans-papiers piquent, pendant seize heures par jour, à la machine, pour confectionner des pantalons à un rythme affolant, une pancarte avertit les usagers des toilettes :
« Quand vous vous serez soulagé, lavez les doigts qui vous restent avant de retourner au boulot ».