Blagues nationalités

Le rire japonais

Un Français en voyage d’affaires au Japon est hébergé chez son homologue japonais. Tous les soirs, après le repas, notre compatriote, friand de petites histoires drôles et d’anecdotes, fait beaucoup rire son hôte.

Le jour de son départ, le Français remercie le Japonais pour son séjour et le félicite sur son grand sens de l’humour. Ce à quoi répond l’Asiatique :
– Vous, les Européens, quand vous riez, c’est par gaieté, par joie. Nous, les Japonais, c’est autre chose : nous rions quand nous n’avons pas compris, par politesse.

L’invasion de Londres

Malgré tous ses efforts, Hitler, lors de la dernière guerre, n’est pas parvenu à envahir l’Angleterre. Soudain, un soir, une idée lui vient : pourquoi ne pas utiliser le bâton de Moïse, celui-là même qui permit aux Hébreux de fendre les flots ?

Il ordonne alors à Himmler d’aller lui chercher le plus érudit des rabbins dans un camp de concentration, afin de lui demander où peut bien se trouver ce bâton fabuleux.
– Je sais où il se trouve, dit le rabbin une fois mis en présence du Führer.
– Où ça ? Dis vite !
– Au British Muséum, répond le rabbin. À Londres…

La blague du missionnaire

Un missionnaire arrive dans un village perdu au fin fond de la brousse africaine. Il est reçu aimablement par le chef de la tribu, qui rassemble pour lui toute la population devant la case commune.
– Mes frères, je suis venu vous parler du dieu des Blancs ! lance le missionnaire.
– Bouloukoula ! Bouloukoula ! répondent les Africains.
– Je vais vous apprendre à lire et à compter ! continue le missionnaire.
– Bouloukoula ! Bouloukoula !
– Et nous construirons un dispensaire pour soigner vos malades !
– Bouloukoula ! Bouloukoula !

Le missionnaire, un peu étonné par cet accueil enthousiaste, se tourne vers le chef de la tribu.
– Ça ne s’est pas mal passé, non ?
– Ça aurait pu être pire, dit le chef avec une moue fataliste. Venez, je vais vous faire visiter notre village.

Et il l’entraîne, lui montre toutes les cases, la rivière, l’étable…
– Prenez garde, mon père, dit-il en entrant dans l’enclos où sont parqués les buffles. Vous avez failli marcher dans la bouloukoula !

Les porteurs perdus

Deux porteurs se sont éloignés dans la brousse pour aller chasser. En fin d’après-midi, ils se rendent compte qu’ils ne retrouvent plus le chemin du campement.
– T’inquiète pas, dit Kotumba. Missié l’explo’ateu’ a dit que si quelqu’un se pe’dait, il devait ti’er t’ois fois en l’ai’ et qu’on lui enve”ait du secou’s.
– Tu as ‘aison, mon vieux, approuve Mabongo.

Et il tire trois fois en l’air. Les deux hommes attendent patiemment mais personne ne vient. Une heure plus tard, Mabongo tire trois autres projectiles vers le ciel. Une nouvelle heure s’écoule et les secours n’arrivent toujours pas.
– Essaie enco’e une fois, conseille Kotumba.
– Je veux bien, répond Mabongo, mais c’est mes t’ois de’niè’es flèches.

La blague de la prostitution Suisse

Un voyageur de commerce français se retrouve seul à Genève pour une soirée. Il dîne à son hôtel puis décide d’aller faire un tour. C’est ainsi qu’il se retrouve dans le quartier réservé. Avisant une accueillante maison ornée d’une lanterne rouge, il entre, fait la connaissance d’une charmante demoiselle fort peu vêtue et monte avec elle dans sa chambre.

Quelques secondes plus tard, on entend la jeune femme crier :
– Pas ça ! Tout, mais pas ça !

L’instant suivant, elle fait irruption dans le salon, entièrement nue, poursuivie par le voyageur de commerce français qui reboutonne piteusement son pantalon.
– Quelle horreur ! fait la jeune femme. Quelle horreur !
– Mais que s’est-il passé ? demande la mère maquerelle.
– Il a voulu me payer avec des euros !