Blagues juifs

Les vêtements d’Allah

Un magasin de fringues est tenu par un Juif. Tout à coup, un « déséquilibré » barbu, en djellaba, fait irruption, brandissant un grand couteau et criant : « Allah est grand » !!!

Et le Juif, imperturbable, de répondre : « Ne vous inquiétez pas, nous avons toutes les tailles… »

La preuve d’amour filiale

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Trois mères se retrouvent au salon de thé…

La première dit :
– Mon fils, il m’aime beaucoup. Tous les cinq ans, il m’offre un nouveau mobilier, et refait toute la tapisserie.

La seconde dit :
– Mon fils, il m’aime beaucoup aussi. Une fois par an, il m’emmène faire les boutiques et dépense sans compter.

La troisième dit :
– Moi, mon fils, il m’aime tellement qu’il va toutes les semaines chez un docteur très cher, et il parle de moi.

La blague du doigt de Rothschild

Papa Rothschild, le banquier, a son fils qui va bientôt se marier. Il le prend à part et lui dit :
– Simon, mon fils, je ne t’ai jamais parlé de la vie, il est temps de te faire certaines révélations. Connais-tu au moins les doigts de la main ?
– Oui papa, il y a l’index, le majeur, le…
– Non, non, ce n’est pas ça, écoute bien, Simon mon fils.
– Oui papa.
– Il y a le doigt du voyage, le doigt de la direction, le doigt de la jouissance, le doigt du mariage et le doigt de la distinction, Simon mon fils.
– Oui papa et quels sont-il ?
– Le doigt du voyage, c’est le pouce, celui que tu lève quand tu fais du stop… Le doigt de la direction, c’est l’index, celui que tu lèves quand tu veux montrer quelque chose… Le doigt du mariage, c’est l’annulaire, c’est dans celui-ci que tu glisses l’alliance, Simon mon fils… Le doigt de la distinction, c’est l’auriculaire, c’est celui que tu lèves quand tu bois une tasse de thé… Et enfin, le doigt de la jouissance, c’est le majeur, celui-là tu le mouilles dans ta bouche et tu comptes les billets, Simon mon fils.

La blague du vol de Moïse

Le conflit israëlo-palestinien a motivé, une fois de plus, une réunion d’urgence à l’ONU.

La parole est donnée à l’ambassadeur Israëlien :
– Mesdames et messieurs, Avant de commencer mon discours, je voudrais narrer une vieille histoire… Lorsque Moïse conduisait les Hébreux hors d’Égypte, il dut traverser des déserts, et des prairies, et encore des déserts… Son peuple était éreinté et avait besoin d’eau. Alors Moïse frappa la roche d’une montagne de sa canne, et au bord de cette montagne apparut un bassin rempli d’une eau fraîche claire comme le cristal. Le peuple s’en réjouit et tous burent pour leur plus grande satisfaction. Moïse souhaita alors nettoyer son corps ; pour ce faire, il alla à l’autre bout du bassin, enleva tous ses vêtements et plongea dans les eaux fraîches de la mare. Quand Moïse sortit de l’eau, il se rendit compte que ses vêtements avaient été volés…

L’ambassadeur Israélien marque alors une pause, puis il reprend :
– Eh bien, j’ai toutes les raisons de croire que ce sont les Palestiniens qui avaient volé ses vêtements !

L’ambassadeur Palestinien manque de s’étouffer en entendant cette accusation. Il saute alors de son siège et crie :
– C’est un mensonge. Tout le monde sait qu’il n’y avait pas de Palestiniens à cette époque !!!

Alors l’ambassadeur d’Israël reprend :
– Et avec cela à l’esprit, laissez-moi maintenant commencer mon discours…

La blague du prix du déshonneur

Dans son magasin de confection, le vieux Samuel Wiesenstein accueille sa fille Rachel en pleurs.
– Allons ma petite fille, qu’est-ce qui se passe ?
– Oh papa, si tu savais… Je t’avais dit que je sortais depuis quelques mois avec Jean-Patrick de la Frontinière… Eh bien, je viens d’apprendre que je suis enceinte de lui !
– Enceinte ?! Ma fille ?! Et d’un goy en plus !!! rugit le vieux Samuel. Donne-moi son adresse, je vais aller lui rendre une petite visite à ton Jean-Patrick. Je t’assure qu’il va m’entendre !

Énervé comme pas possible, le vieux Samuel se met au volant de sa vieille Mercedes 220 D et fonce à tout berzingue en direction de l’adresse indiquée. Lorsqu’il arrive sur place, il n’en croit pas ses yeux : au numéro fournit par sa fille, il tombe sur un superbe immeuble sur le toit duquel brille un gigantesque néon publicitaire « Prêt à porter De la Frontinière ».

Mais le vieux Samuel ne se laisse pas impressionner, il entre dans l’immeuble, passe par l’accueil, insiste pour rencontrer Jean-Patrick de la Frontinière himself. On lui demande de patienter pendant que l’on prend contact avec le secrétariat de la direction. Après cinq minutes d’attente, le vieux Samuel a l’autorisation de monter au dernier étage de l’immeuble. Là, il est accueilli par la secrétaire particulière de Monsieur Jean-Patrick de la Frontinière qui le conduit jusqu’au PDG.

Et voilà enfin le vieux Samuel qui entre dans le bureau de celui qui a fait un enfant à sa fille alors qu’ils ne sont même pas mariés ! Il le voit là devant lui et s’apprête à se mettre à l’insulter lorsque Jean-Patrick le prend de vitesse :
– Monsieur Wiesenstein, si vous saviez le plaisir que j’ai à vous voir ! Votre fille Rachel m’a dit tellement de bien de vous. Elle vous adore vous savez. Je pense savoir la raison de votre visite : Rachel est enceinte et nous ne sommes pas mariés. Eh bien je tiens à vous rassurer : je compte lui verser dès maintenant et jusqu’à la majorité de notre enfant une rente mensuelle de 10.000 euros. De plus, je vous propose, puisque vous êtes dans la confection et moi dans le prêt-à-porter de vous offrir la responsabilité de la direction de nos commandes spéciales et de réalisation d’échantillons. Vous seriez gérant de notre filiale, avec un salaire mensuel de 15.000 euros plus un intéressement aux bénéfices.
Alors, qu’en pensez-vous ?

Là, le vieux Samuel reste muet pendant plus d’une minute, ne sachant que dire, et puis enfin il répond :
– Monsieur De la Frontinière, permettez-moi une question : dans le cas où ma petite Rachel ferait une fausse couche, est-ce que vous seriez prêt à lui donner une seconde chance ?