Blagues corses

Le Corse qui vient travailler sur le continent

C’est un corse qui dit à son vieux père :
– Té, demain je pars travailler sur le continent.

Le père lui répond :
– Tu verras, mon fils, là-bas, il y a de l’argent partout, il suffit de se baisser pour le ramasser.

Le lendemain, le fils prend donc le bateau, et arrive sur le port de Marseille. Il débarque et aperçoit sur un trottoir un billet de 100 euros. Alors il se dit :
– Oh hé puis non, je commencerai demain…

La blague du perroquet Corse

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C’est un jeune Corse qui part sur le continent et auquel son père dit :
– Puisque tu vas sur le continent, fils, tu me ramèneras un perroquet. J’ai toujours voulu avoir un perroquet, ici il n’y en a pas.

Le jeune fait :
– Ouais, j’y penserai.

Puis il part sur le continent, il fait un peu la fête et, au moment de revenir en Corse, il s’aperçoit qu’il a oublié le perroquet. Alors il se précipite dans le premier magasin qu’il voit et demande :
– Vous n’auriez pas un perroquet ?
– Ah non, en oiseaux il ne nous reste pas grand-chose. On a un hibou si vous voulez, c’est tout ce qu’il nous reste.
– Un hibou ? Ça ne parle pas, un hibou ?
– Non, mais c’est tout ce que l’on a comme oiseau.
– Bon, tant pis, donnez-le-moi.

Il revient et donne le hibou à son père en lui disant :
– Voilà, papa, je t’ai acheté ton perroquet.

La semaine d’après, il lui demande :
– Alors, papa, tu en es content de ton perroquet ?
– Ouais.
– Il parle ?
– Non, mais alors les yeux qu’il fait quand il écoute !

Le hold-up des deux corses

Deux corses réalisent un hold-up et s’enfuient se réfugier dans une chambre d’hôtel.

Le plus jeune dit à l’autre :
– François, qu’est-ce qu’on attend pour compter les billets ?

Le plus âgé, complètement épuisé par l’exploit lui répond :
– Oh Antoine, attend cet après-midi, va acheter le journal et tu auras la réponse.

Avec parcimonie et à bon escient

Un père Corse trouve que son fils, étudiant à Paris dépense trop d’argent il lui demande des comptes. Le fils répond :
– Je dépense mon argent avec parcimonie et à bon escient, Papa !

Son père lui répond :
– Ce Parcimoni, d’accord c’est un compatriote mais je ne veux pas d’un Arménien comme ce Bonnessian !