C’est un corse qui dit à son vieux père : – Té, demain je pars travailler sur le continent.
Le père lui répond : – Tu verras, mon fils, là-bas, il y a de l’argent partout, il suffit de se baisser pour le ramasser.
Le lendemain, le fils prend donc le bateau, et arrive sur le port de Marseille. Il débarque et aperçoit sur un trottoir un billet de 100 euros. Alors il se dit : – Oh hé puis non, je commencerai demain…
Deux corses sont couchés en train de faire la sieste sur un banc.
L’un d’eux ayant un œil ouvert par mégarde aperçoit un billet de 100 euros sur le sol. Il dit à l’autre : « Oh dis-donc regarde ça : un coup de vent et on était riche ! »
C’est un jeune Corse qui part sur le continent et auquel son père dit : – Puisque tu vas sur le continent, fils, tu me ramèneras un perroquet. J’ai toujours voulu avoir un perroquet, ici il n’y en a pas.
Le jeune fait : – Ouais, j’y penserai.
Puis il part sur le continent, il fait un peu la fête et, au moment de revenir en Corse, il s’aperçoit qu’il a oublié le perroquet. Alors il se précipite dans le premier magasin qu’il voit et demande : – Vous n’auriez pas un perroquet ? – Ah non, en oiseaux il ne nous reste pas grand-chose. On a un hibou si vous voulez, c’est tout ce qu’il nous reste. – Un hibou ? Ça ne parle pas, un hibou ? – Non, mais c’est tout ce que l’on a comme oiseau. – Bon, tant pis, donnez-le-moi.
Il revient et donne le hibou à son père en lui disant : – Voilà, papa, je t’ai acheté ton perroquet.
La semaine d’après, il lui demande : – Alors, papa, tu en es content de ton perroquet ? – Ouais. – Il parle ? – Non, mais alors les yeux qu’il fait quand il écoute !
Un père Corse trouve que son fils, étudiant à Paris dépense trop d’argent il lui demande des comptes. Le fils répond : – Je dépense mon argent avec parcimonie et à bon escient, Papa !
Son père lui répond : – Ce Parcimoni, d’accord c’est un compatriote mais je ne veux pas d’un Arménien comme ce Bonnessian !