Blagues métiers

La blague de l’apprenti coiffeur

Kévin vient de débuter en apprentissage dans le salon de coiffure de son papa. Pour la première fois, son père a décidé de lui laisser le champ libre pour voir si son fiston a la fibre capillicole.

Un client se présente pour une coupe de cheveux.
« Prenez ce fauteuil, monsieur », lui dit le père ; « et toi Kévin, vient ici : tu vas couper les cheveux de monsieur, c’est une coupe au rasoir ! »

Puis s’adressant au client, il lui dit sur le ton de la confidence :
« Je vous laisse entre les mains de mon fils ; ça sera sa première coupe, mais rassurez-vous, je le surveille ! »
Et là-dessus, Kévin se met au travail.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que jeune apprenti n’est pas à son aise, et au bout d’une minute à peine, d’un geste brusque « SCOUIK », Kévin tranche net l’oreille du client. Ça pisse le sang dans tout le salon, on dirait un cochon qu’on vient de saigner pour faire du boudin, et monsieur Mastard se ramène en courant, affolé et très en colère
« Satané bougre de d’andouille, tu ne peux pas faire attention ? »
Et il va lui filer une énorme gifle, sauf que Kévin a l’habitude et hop, il se baisse… Et c’est le client qui se prend la mandale !
« Mon pauvre monsieur, je suis désolé, ce n’est pas vous que je visais… Bon, je vais vous mettre une compresse sur l’oreille et Kévin va terminer votre coupe, d’accord ? »

Alors Kévin reprend le rasoir et entreprend de terminer sa coupe. Il est encore plus nerveux lorsqu’il attaque l’autre côté… Tellement nerveux et tellement tremblant que d’un geste fou il tranche la deuxième oreille du client ! Ça pisse à nouveau le sang sur le carrelage su salon et une fois de plus, son père se ramène furibard !
« Espèce de petit con, tu te rends compte de ce que tu as fait ? »
Et il va lui recoller une mandale, mais Kévin est un maître de l’esquive et hop, la mandale atterrie sur le nez du client, une fois de plus.
Après s’être excusé une fois de plus auprès du client, et après avoir stoppé l’hémorragie au moyen d’une compresse, le coiffeur dit à son fils :
« Bon, je te laisse une dernière chance. Tu vas terminer la coupe de monsieur… »

Et Kévin, secoué de tremblements, se remet en piste. Il a presque terminé. Il va enfin pouvoir se décontracté lorsque… « ZIP! » D’un seul coup d’un seul, il vient de couper le bout du nez du client.

Alors le client se retient de crier et tire Kévin par la manche pour lui dire à l’oreille :
« Surtout ne dites rien : je crois que votre père n’a rien vu cette fois. »

La vie des moutons

Une dame est en train de choisir un pull-over. Elle hésite… La vendeuse lui en montre un :
– Celui-ci est en pure laine vierge !
– Écoutez, mademoiselle, la vie privée du mouton ne m’intéresse pas. Vous feriez mieux de me dire si on peut le laver en machine !

Le produit miracle pour les chauves

Un client étonné demande un jour à son coiffeur chauve comme un œuf :
– Pourquoi me dire que ce produit fait miraculeusement pousser les cheveux alors que vous-même n’en avez pas un seul ?
– C’est que… vous comprenez… dit le coiffeur en essayant de garder son calme, j’utilise les produits de mes concurrents pour montrer à quel point ils sont inefficaces.

Le cul et la bouffe

Un vieux fermier prenait le frais dans sa véranda par une belle soirée d’été, en observant d’un œil amusé son coq qui pourchassait une poule sur le tas de fumier.

Le coq courrait après la poule depuis une bonne dizaine de minutes, dans le but évident de lui remplir le cloaque, jusqu’à ce que la femme du fermier ne s’approche du fumier pour jeter des épluchures de pomme de terre et d’autres déchets de table.

En un éclair, le coq s’arrêta de pourchasser la poule et se rua vers les restes apportés par la fermière.

L’air songeur, le paysan se dit à lui-même :
« Cré non de nom, j’espère bien jamais être affamé à ce point ! »

La viande du chien

Une cliente achète un rôti. Elle découvre le chien du boucher qui se lèche les babines devant la marchandise.
– Est-ce que ce gros chien ne vous mange jamais de viande ?
– Oh ! Jamais, madame, il est bien élevé, il la lèche, c’est tout.