Blagues restaurants

Le plat musical

Dans un restaurant chic, un orchestre joue pendant le repas. Un garçon dépose un plat devant un client :
– Qu’est-ce que c’est ? demande celui-ci.

Et le garçon tendant l’oreille de répliquer :
– Ça, monsieur, c’est le meilleur morceau de « La veuve joyeuse ».

Les varices culinaires

– C’est inouï ! s’écrie un monsieur devant un cercle d’amis, figurez-vous que, l’autre jour, j’étais au restaurant. Le garçon était d’une lenteur ! Il ne marchait pas, il se traînait ! Si bien qu’à un moment, je lui fais, comme ça :
– Dites-donc, mon ami, vous avez des varices ? Et vous ne savez pas ce qu’il me répond :
– Une minute, monsieur, je vais voir à la cuisine !

Tout le monde s’esclaffe, sauf un homme qui reste très sérieux.
– Eh bien, moi, un truc comme ça ne me serait pas arrivé !
– Pourquoi donc ?
– Parce que je regarde toujours la carte avant de demander au garçon !

La soupe de Marseille

Des dîneurs se sont particulièrement régalés d’une soupe de poissons, dans un restaurant du Vieux-Port à Marseille. Ils appellent le serveur :
– Pourriez-vous soutirer discrètement la recette au chef ?
– Je vais faire mieux que cela : vous apporter la boite de conserve qu’il a ouverte. La liste de tous les ingrédients est inscrite sur l’étiquette.

Les spaghettis capillaires

Dans un restaurant italien, un serveur raconte :
– La cuisine que prépare le chef est si mauvaise qu’il n’y a pas un jour sans qu’un client ne me renverse sur la tête une assiette de spaghettis ruisselants de sauce tomate.
– Cela semble presque vous faire plaisir.
– Oui. Depuis que je me suis rendu compte que ce genre de shampoing me fait repousser les cheveux.

Arnaque à l’espagnole

En voyage d’affaires à Paris, un Espagnol découvre un restaurant andalou au cœur de la capitale. Fou de joie à l’idée de retrouver un peu de l’air du pays, il s’installe à une table et voit arriver un garçon asiatique. À sa grande surprise, cependant, le garçon parle parfaitement espagnol et manifeste même une connaissance rare des traditions culinaires du pays. Au moment de l’addition, l’homme d’affaires s’approche du patron pour lui faire un chèque et glisse :
– Dites, il est formidable, votre Chinois ! Il parle espagnol sans accent et même…
– Chut ! Taisez-vous ! C’est l’école hôtelière de Pékin qui me l’a envoyé en stage il y a deux ans, il croit encore apprendre le français !