Blagues coiffeurs

Le sexe du coiffeur

Une jeune femme annonce à son mari :
– Je vais au coiffeur.

D’un air supérieur, il lui explique :
– Vois-tu, ma chérie, on emploie cette expression quand on va se faire monter. Par exemple, un paysan dit : « Ma vache va au taureau. » Une femme qui part pour se faire faire une permanente dit : « Je vais chez le coiffeur ».
– C’est bien, possible, mais, moi, je vais au coiffeur.

Le coiffeur pédophile

Convoquée d’urgence à la mairie, une dame n’a trouvé d’autre solution que de laisser sa petite fille à la garde du coiffeur, en bas de chez elle. Quand elle rentre, une heure plus tard, elle manque de suffoquer en trouvant la gamine en train de fourrager dans le pantalon du coiffeur.
– Et alors, fait celui-ci, sans se troubler, vous auriez peut-être préféré que je la laisse jouer avec les rasoirs pour qu’elle risque de se couper ?

Le cul-de-jatte chez le coiffeur

C’est un cul-de-jatte qui se rend chez le coiffeur, la coiffeuse lui demande :
– Je vous coupe les pattes ?

Il répond :
– Vous voulez mon pied au cul !
– Ma parole vous vous êtes levé du pied gauche.
– Si c’est comme ça je ne remets plus les pieds chez vous !

Et le coiffeur finit sur un :
– C’était juste pour vous faire marcher.

Joséphine est encore enceinte

Joséphine fait son entrée chez le coiffeur. Les autres clientes ne manquent pas de remarquer qu’elle a encore le ventre bien rond.
– Dis-nous Joséphine, tu ne serais pas encore enceinte toi ? Lui demande en souriant la coiffeuse.
– Ben si, répond Joséphine.
– Et c’est ton combientième ? Le neuvième, c’est pas ça ? Continue la coiffeuse.
– Ben oui, avoue la pauvre femme.
– Mais Joséphine, entre nous, tu ne trouves pas que ça fait un peu beaucoup, neuf enfants ? Poursuit l’agréable coiffeuse.
– Oh ben si… mais pour que je tombe enceinte si souvent, c’est qu’il doit y avoir quelque chose dans l’air…
– Ah ça je pense bien, répond la femme de l’art, tes jambes !

Les bienfaits du brossage de cheveux

On bavarde, tandis que les ciseaux cliquettent.
– Il y a toujours un bon côté aux choses, lance un monsieur. Tenez, à l’âge de quinze ans, un de mes amis a décidé de ne pas se coucher un seul soir sans s’être donné cinquante coups de brosses sur les cheveux. C’était il y a trente ans de cela. Depuis, il n’a jamais failli un jour à ce qu’il s’était promis de faire.
– Et il a des cheveux magnifiques ?
– Non, il est presque totalement chauve.
– Mais alors, où est l’avantage de cette méthode ?
– Je voudrais que vous voyiez les magnifiques biceps qu’il a, mon ami, après trente ans de brossage de cheveux quotidien !