Blagues justice

Drogue : une méthode de sevrage

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Deux jeunes garçons se font prendre par la police alors qu’ils fument de l’herbe. Ils passent dans la journée devant le juge qui leur dit :
– Vous me semblez être de bons garçons et j’aimerai vous donner une seconde chance avant de vous expédier en prison. Je veux que passiez cette fin de semaine à convaincre le plus de personnes possible des méfaits liés à la drogue, et si vous rencontrez des personnes qui se droguent, tentez de les convaincre d’arrêter. Je vous reverrai ici même lundi pour faire le bilan.

Lundi arrive et nos deux p’tits gars sont de retour devant le juge. Le juge demande au premier :
– Alors, qu’avez-vous fait cette fin de semaine ?
– Votre honneur, j’ai réussi à convaincre 17 personnes d’arrêter totalement d’utiliser de la drogue.
– 17 personnes ? C’est très très bien. Comment êtes-vous arrivé à cela ?
– Je leur ai montré un petit dessin, votre honneur. J’ai dessiné deux cercles comme cela :

Puis je leur ai dit : « Ceci (le grand cercle) c’est votre cerveau avant la drogue et ceci (petit cercle) c’est votre cerveau après la drogue. »
– Excellente démonstration ! dit le juge. Et vous (au deuxième garçon), quel est votre bilan ?
– Votre honneur, j’ai persuadé 156 personnes d’abandonner la drogue à jamais.
– 156 personnes ! c’est incroyable ! comment avez-vous réussi cela ?!
– Et bien j’ai utilisé la même approche. (Il dessine les 2 mêmes cercles)… Je leur ai dit (pointant le petit cercle) : « Ça, c’est votre trou du cul avant la prison… »

La prison dans le désert

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Ça se passe dans une prison genre Alcatraz, mais en plein désert aride. Du fait de son isolement et de sa localisation, elle a la réputation de n’avoir jamais connu d’évasion.

Un jeune prisonnier vient d’arriver et on le place dans la même cellule qu’un vieux briscard. Tout de suite, le jeune détenu ne parle que d’évasion, et quelques mois plus tard, il fait une tentative.

Mais après une semaine, il est repris. On le retrouve dans le désert, à moitié fou, souffrant atrocement de la soif et de faim.

Une fois remis dans sa cellule, il décrit son calvaire à son vieux compagnon de cellule : Du sable à perte de vue, aucun point d’eau, un soleil écrasant, aucun signe de vie nulle part…

Le vieux prisonnier écoute un moment puis il dit :
– Ouais, je sais tout ce que tu me dis. J’ai essayé de m’évader moi aussi il y a 20 ans…

Le jeune dit :
– Quoi ? C’est vrai ? Pourquoi tu ne me l’as pas dit durant tous ces mois où je préparais mon évasion ? Pourquoi ne pas m’avoir dit tout de suite que c’était impossible ?

Et le vieux répond en haussant les épaules :
– Et t’as déjà vu quelqu’un publier des résultats négatifs ?

L’alcool au volant… de la jupe

Dans un bar, deux gars discutent :
– J’ai pas de chance, vraiment, une fille s’était plainte que j’avais essayé d’attenter à sa pudeur dans ma voiture. Je suis passé au tribunal ce matin. J’ai été condamné à une amende de 150 euros… Et quand le juge a vu la fille, il m’a condamné à une amende de 200 euros de plus pour conduite en état d’ivresse !

Un avocat au Paradis, quelle bonne blague !

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Un avocat vient d’arriver au Paradis, mais n’est pas satisfait de sa condition. Il se plaint et se voit rétorquer qu’il lui faut faire appel de sa situation, mais que le délai d’attente est de trois années avant que son appel soit entendu.

Il se plaint encore plus, car trois années, c’est très long… mais ses remarques ne sont pas entendues.

Il est alors sollicité par le Diable qui lui affirme être en mesure d’arranger sa procédure dans les trois jours, si il consent à venir plutôt en Enfer.

Enthousiasmé, l’avocat le questionne sur la brièveté du délai ; le Diable lui explique : « C’est simple, nous avons tous les Juges… »