Blagues voyous

La blague des vols dans l’usine

C’est un gars qui obtient un poste de vigile de nuit dans une usine. Il a été embauché car il y a déjà eu pas mal de vols réalisés pour la plupart par les ouvriers travaillant la nuit. Dès son entrée en fonction, à la sortie de l’usine le matin, le vigile passe les employés à la fouille et s’assure que ni leurs sacs ni leurs poches ne contiennent d’objet volé. Tout se passe bien jusqu’à ce qu’un ouvrier poussant une brouette remplie de papiers et de cartons se présente à la sortie.

Pensant en son for intérieur qu’il tient là un suspect, le vigile arrête l’ouvrier et vide la brouette de tous ses papiers. Ne trouvant rien d’autre, il demande :
– A quoi ça va servir tout ce papier ?

L’ouvrier répond :
– Je me fais un peu d’argent de poche en portant ce papier au recyclage. Et ces papiers sont récupérés dans les poubelles de l’usine, donc pas de problème.

Le vigile laisse passer l’employé, mais décide de garder un œil sur lui. A chaque sortie d’usine les autres matins, le vigile ne trouve rien chez les ouvriers qu’il fouille, ni chez le récupérateur de papier.

Les jours se suivent comme ça pendant une année lorsqu’un beau jour, le vigile est convoqué par le directeur de l’usine. Sans prendre de gants, le directeur lui dit :
– Vous êtes viré !

Abasourdi, le vigile répond :
– Mais pourquoi ? Qu’est-ce que j’ai fait ?
– Votre travail consistait à vous assurer que personne ne vole quelque chose dans cette usine, et vous n’avez pas réussi. Donc vous êtes viré.
– Eh une minute… Qu’est-ce que vous entendez par pas réussi à faire mon boulot ?
– Personne n’a jamais volé quoi que ce soit pendant que j’étais vigile.
– Ah vraiment ? Répond le patron. Et alors comment expliques-tu les 365 brouettes manquantes ?

Tentative de meurtre maritale

– Mettez-moi en prison, dit un homme qui vient de pénétrer, hors d’haleine, dans un commissariat : j’ai tiré à coups de revolver sur ma femme.
– Elle est morte ? Questionne l’un des agents.
– Si elle était morte, répond l’homme, croyez-vous que j’aurais besoin de me réfugier ici ?

La première envie de meurtre

Le président d’une cour d’assises interroge un homme, accusé d’une série de crimes.
– A quand faites-vous remonter votre première envie de meurtre ?
– A l’époque où j’avais une douzaine d’années et où j’ai surpris ma mère en train de faire l’amour avec un mec méprisable et sans scrupules.
– Vous auriez dû en parler à votre père.
– Je ne pouvais pas.
– Pourquoi ?
– C’était mon père.

Sortir un jour de prison

Un bandit, qui vient de purger sa peine, franchit le seuil de l’établissement pénitentiaire et console le gardien en larmes qui l’accompagne :
– Allons, allons, mon pauvre vieux, ne vous désolez pas comme ça ! Vous aussi, vous en sortirez, un jour, quand vous aurez la retraite, dans… vingt-sept ans !

La valeur de la vertu

Une prostituée est réveillée, une nuit, par un bruit suspect. Elle allume sa lampe de chevet et voit un cambrioleur qui lui dit :
– Ne t’en fais pas, ce que je recherche, ce sont uniquement des objets de valeur. Autant dire que tu n’as rien à craindre pour ta vertu.