Blagues voyous

Le blues du pénitencier

Au pénitencier, le directeur convoque un gardien.
– Qu’est-ce qui vous fait penser que le détenu de la cellule 43 prépare une évasion ?
– C’est qu’il a demandé à la cantine qu’on lui prépare an panier pique-nique pour mercredi !

La réserve délinquante

Un type baraqué, style ancien militaire, se promène avec un gros flingue du coté de Montfermeil.

Il avise quelques gonzes qui le narguent et tire au hasard. La police surgit ; il exhibe alors un permis de chasse international.

Les flics s’inclinent et le sermonnent pour la forme.
– Attention ! Votre permis ne vous autorise pas à tuer impunément n’importe qui. Ça ira pour cette fois, celui-là on l’avait à l’œil, ça en fera un de moins…

Le lendemain, le même type se promène avec une 22 long rifle dans la rue principale de Vaulx en Velin et se fait 3 voyous. Emeute. Les flics arrivent et le sortent péniblement de là.

Il exhibe à nouveau son permis et les flics le relâchent.

Trois jours plus tard, le gars remet ça à Marseille avec une Kalachnikov. Complètement déchaîné, il dézingue vingt mecs avant d’être submergé par le nombre.

L’arrivée des poulets lui évite de justesse le lynchage. Il sort de ce qui lui reste de son fameux permis.

Les flics se marrent :
– Ah non, mon gars ! Ici ce truc ne marche pas ici : c’est une réserve !…

La blague du malfrat conducteur

C’est l’histoire d’un truand américain qui commet un braquage à main armée dans une banque, puis écrase une vieille dame (ainsi que Paf le chien qui traînait par-là) au cours de la cavale qui s’ensuit.

Il est rapidement capturé par la police, puis jugé. Son avocat est très pessimiste. Il lui dit qu’il risque la chaise électrique…

Effectivement, le jury le condamne à goûter aux 50.000 volts. Le condamné décide de ne pas faire appel. Il ne demande pas la grâce non plus.

Le jour de l’exécution, on branche la machine, on met le courant au maxi, mais RIEN. Devant tant de bizarrerie, l’administration judiciaire décide de le relâcher.

À peine dehors, le truand vole à nouveau une voiture et provoque aussitôt un nouvel accident. La police qui vient aussitôt l’interpeler n’en revient pas d’une telle malchance. Le malfrat leur dit :
– Que voulez-vous les gars : c’est pas toujours une bonne affaire d’être mauvais conducteur.

La femme du train

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Le président du tribunal interpelle le prévenu :
– Pourquoi avez-vous jeté votre femme sur les rails au moment où le train arrivait ?
– Parce qu’il était grand temps de la mettre sur la bonne voie !