Blagues voyous

La blague des bandits mexicains

Un milliardaire californien décide de passer un petit week-end au Mexique. Au volant de sa superbe Cadillac décapotable, il sillonne le pays en mâchant du chewing-gum, lorsque soudain il est arrêté par une bande de hors-la-loi armé jusqu’aux dents.
– Descends de voiture, yankee ! ordonne le chef d’une voix redoutable.
Le milliardaire descend de voiture piteusement.
– Donne ton fric, yankee ! rugit le bandit.
Le milliardaire lui tend son portefeuille.
– À poil, yankee !
Le milliardaire hésite, mais se déshabille sans oser protester.

Les bandits montent alors dans sa Cadillac et se préparent à prendre le large. Affolé à l’idée de se retrouver comme ça, tout nu et sans argent en plein désert du Mexique, le milliardaire s’accroche à la portière.
– Par pitié ! Vous n’allez pas me laisser ici, sans rien ?

Le bandit mexicain le dévisage d’un œil noir, puis se tourne vers l’un de ses hommes, une sorte d’épouvantail hideux qui rumine en silence, tout en crachant de temps à autres de longs jets de salive noirâtre sur le sol :
– OK, Pancho… Rends son chewing-gum au yankee…

Le déshonneur du lâche

Une bande de voyous arrête une voiture en pleine campagne et dévalise le couple de touristes qui s’y trouvait.

Ils volent, pillent et massacrent tout. Puis le chef de la bande dit à l’homme :
– Toi, va te mettre face à cet arbre et n’en bouge plus, ou tu es un homme mort !

Et ils emmènent avec eux la femme. Deux heures plus tard, le chef revient et dit :
– Tiens, je te ramène ta femme, je n’en ai plus besoin. Je l’ai déshonorée. Et il s’en va. La femme, furieuse, insulte son mari :
– Espèce de lâche ! Tu les as laissés faire ! Tu n’as même pas essayé de me défendre !
– Ma chérie, tu n’étais pas là, tu n’as rien pu voir, mais quand j’étais devant l’arbre, je me suis retourné trois fois !

Condamnation électrique

Aux États-Unis, un type est condamné à la chaise électrique. Curieux de nature, il ne peut résister au besoin de questionner le bourreau, au moment où celui-ci le lie à la chaise :
– Dites, comment ça marche, votre truc ?
– Vous en faites pas, répond le bourreau. Je vais vous mettre au courant…

Le vol de l’aviation

Deux bandits siciliens se rencontrent à une terrasse de café. Au bout de quelques temps, la conversation roule sur leurs enfants.
– Et le tien, Giuseppe, qu’est-ce qu’il devient ?
– Bah, le mien il fait son service militaire, tu sais, Gino.
– Ah bon ? Et il est dans quelle arme ?
– L’aviation, Gino.
– Et il vole beaucoup ?
– Oh, un bidon par-ci, un bidon par-là…

La blague des testicules du nain

Un homme qui se soulage devant un urinoir remarque qu’un nain est en train de l’observer. Mais le besoin est pressant et il n’a pas envie de s’interrompre pour si peu de chose. Encouragé par l’absence de réaction, le nain approche un petit escabeau, grimpe dessus et observe pour ainsi dire à bout portant les parties intimes du monsieur.
– Ma parole ! s’exclame-t-il. C’est la première fois que je vois d’aussi belles balloches !

Surpris mais quelque peu flatté, l’homme bredouille des remerciements confus et s’apprête à refermer sa braguette.
– Un instant, s’il vous plaît, dit le nain. Ma demande va sans doute vous paraître bizarre mais me permettriez-vous de les tâter ? Elles sont tellement remarquables…

De plus en plus surpris mais aussi de plus en plus flatté, l’homme se dit qu’au fond, il n’y a pas grand mal et il accepte. Le nain tend les bras, s’empare de ses testicules et lance d’un ton menaçant :
– Ok mon pote. Maintenant, aboule ton portefeuille ou je saute de l’escabeau.