Blagues police

Le motard limité

Peu avant l’entrée de Rennes, un policier fait stopper un motard qui roule comme un fou.
– Avez-vous une excuse à invoquer ? lui demande-t-il.
– Oui, dit le motard. En m’engageant sur cette nationale, j’ai vu « 157 », je n’ai pas compris qu’il s’agissait du numéro de la route. J’ai cru que c’était la vitesse maximale autorisée.
– Ça va pour cette fois, fait le policier, mais méfiez-vous en sortant de la ville : il y a un embranchement et la route de droite, c’est la départementale 483 !

Le suspect récidiviste

Un inspecteur de police interroge un suspect :
– Pouvez-vous m’expliquer ce que vous faisiez dans la nuit du 13 au 14 décembre ?
– C’est facile ! J’étais ici en train de vous expliquer ce que je faisais dans la nuit du 5 au 6 novembre !

Noyade assistée

Un gendarme aperçoit un homme dans la rivière et lui crie :
– Baignade interdite ! Vous ne savez pas lire ? C’est défendu de nager ici !

Le baigneur, gigotant comme un forcené et haletant, réussit enfin à lui répondre :
– Je ne nage pas ! Je me noie !
– Bon, soupire le gendarme. Alors faites mais faites vite.

Les adolescents au poste

Deux jeunes lycéens venaient de se faire arrêter pour attentat à la pudeur, usage public et possession de marijuana… On les avait trouvés nus, bourrés, en train de fumer un joint dans la fontaine publique de la ville.

Le policier qui les avait ramenés au poste leur avait indiqué qu’ils pouvaient passer un coup de téléphone à leurs parents et qu’il les gardait au poste jusqu’à ce qu’on vienne les chercher.

À peu près trente minutes plus tard, un jeune homme fait irruption dans le commissariat. Le policier lui demande :
– Je suppose que vous êtes de la famille d’un de ces deux adolescents ?
– Heu… Non, pas du tout… Je suis venu pour leur livrer leur pizza…

La noyade du désespéré

Un agent de police sauve in extremis, un désespéré qui tente de se noyer.
– Allons ! Vous n’allez pas faire ça ! J’aurais été obligé de plonger pour vous repêcher et d’attendre une ambulance par ce grand froid. Transis, nous pouvions attraper une pneumonie ! Allez, soyons sérieux, il vaut mieux que vous alliez vous pendre chez vous.