Blagues avocats
La blague du bras voleur

Un jeune avocat voulant se faire un nom hérite d’un cas typique de vol avec effraction. Et en flagrant délit, de surcroit. Mais il tente sa chance et décide d’adopter une défense originale : – Votre Honneur, le bras de mon client est passé à travers une vitre peu solide, et a ramassé quelques menus objets qui ne valent pas grand chose. Oserais-je vous faire remarquer que même si son bras est coupable, mon client ne l’est pas puisque son bras n’est pas vraiment lui. Je conçois que vous punissiez le bras, mais ne serait-ce point une iniquité de condamner l’individu tout entier ?
Le juge, bon joueur, regarde l’avocat avec un sourire en coin et lui dit :
– Maître, je trouve votre logique fascinante, et en adoptant votre point de vue, je condamne le bras du condamné à 12 mois de prison fermes. L’accusé peut accompagner son bras s’il le désire.
Une petite lueur d’amusement s’allume alors dans les yeux de l’avocat lorsqu’il voit son client se diriger vers le greffier, détacher son bras artificiel et sortir du tribunal.
Le jeune avocat qui simulait
C’est un jeune avocat qui se lance en créant son propre cabinet. Il a hâte de recevoir son premier client, et il a très envie de faire forte impression dès le départ.
Si bien que lorsqu’il entend frapper à sa porte, il dit « entrez » et tout de suite, il décroche son téléphone pour simuler une conversation animée :
– Oh je suis désolé Monsieur, mais mon emploi du temps est tellement chargé que je ne pourrai pas m’occuper de votre problème avant un mois. Je vous rappellerai à ce moment là. Au revoir !
Puis le jeune avocat se tourne vers le visiteur et lui demande :
– Bonjour. Que puis-je faire pour vous ?
Et le gars répond :
– Je suis des télécoms et je suis venu pour vous brancher votre téléphone.
Le rabbin, l’hindou et l’avocat en voyage
Un rabbin, un hindou et un avocat sont ensemble en voyage dans une voiture. Il est très tard et la voiture tombe en panne. Ils se mettent è la recherche d’aide ou d’un abri pour la nuit. La première maison qu’ils rencontrent est celle d’un fermier qui les accueille de bon cœur, mais leur explique qu’il n’a que deux lit pour eux, et qu’un des trois voyageurs devra aller dormir avec les animaux à l’étable.
Le rabbin se dévoue pour aller dormir à l’étable, et il laisse les lits aux des autres. Mais dix minutes plus tard, il frappe à la porte de la chambre de ses compagnons de route et leur dit :
– Je ne peux pas dormir à l’étable, il y a un cochon là-bas. Ma religion m’interdit de dormir en compagnie de cet animal.
L’hindou propose alors d’aller dormir dans l’étable à la place du rabbin, mais lui aussi revient frapper à la porte au bout de 10 minutes en disant :
– Je ne peux pas dormir à l’étable moi non plus. Il y a une vache et ma religion ne me permet pas de partager ma couche avec des vaches.
L’avocat qui en a marre et qui est pressé de dormir maintenant, propose d’aller dormir à l’étable en disant que lui n’a pas de problème de religion avec les animaux.
… Mais dix minutes plus tard, la porte de la chambre s’ouvre, et la vache et le cochon entrent dans la chambre…