La femme d’un buveur invétéré raconte à une voisine : – Mon médecin m’a donné un remède-miracle, pour guérir mon mari qui absorbe quotidiennement plusieurs bouteilles de beaujolais. – Vraiment ? – C’est un liquide amer qu’il suffit de verser dans le café du sujet à traiter. – Vous l’avez essayé ? – Oui. J’ai versé la potion dans le café du matin de mon mari. – Et ça l’a guéri de boire ? – Radicalement… de boire du café, tout au moins.
Après le défilé du carnaval du Dimanche, des copains m’ont invité à aller boire un coup avec eux au Domino.
Ma femme n’était pas vraiment d’accord avec l’idée que j’aille me saouler comme un adolescent et voir les brésiliennes, mais je lui ai promis d’être de retour à minuit.
Naturellement, les heures ont passé rapidement et la bière coulait à flot. Si bien que je suis rentré à la maison vers trois heures du matin, complètement ivre.
Heureusement, ma femme était couchée. Au moment où je suis rentré, notre horloge coucou a commencé de sonner. « Coucou…coucou…coucou »
J’ai réalisé rapidement que si par malheur ma femme se réveillait et entendait le coucou, elle saurait que j’étais rentré plus tard que promis.
J’ai donc imité le coucou 9 fois de plus (et c’était une très bonne imitation, croyez-moi!), ce qui faisait un total de 12 coups… minuit pile !
J’étais assez fier d’avoir pensé à cette solution ingénieuse pour éviter une petite chicane de couple.
Le lendemain, ma femme m’a demandé à quelle heure j’étais rentré la veille. Je lui ai répondu tout naturellement « minuit ». Pas de réaction, tout semblait parfait !
Un peu plus tard, elle m’a dit que nous devions faire réparer notre coucou.
Nerveusement, je lui ai demandé pourquoi : – Bien, hier, lorsqu’il a sonné les douze coups de minuit, il a fait : « coucou… coucou… coucou… merde !… coocwou… kecou… kakou… cooucou… bbuuuurp… ccouwoucu… kecooo… ccououccwou… hé hé hé… coooccou… couuuwoucou » et ensuite il a pété…
Deux mouches mâles discutent : – Alors, t’as passé une bonne fête des pères ? – Mouais, 123015 de mes gosses me l’ont souhaitée, les 200125 autres trouvent que je suis un mauvais père…
C’est la fille mandarine qu’est invitée à la surprise partie donnée par le fils citron ; papa et maman mandarine ne sont pas très très enthousiastes à l’idée qu’elle y aille car le fils citron a un peu mauvaise réputation ; mais la fille mandarine insiste, plaide, mendie tant et tant que les parents mandarine se laissent convaincre.
Alors donc la fille mandarine va à la surprise partie du fils citron toute joyeuse, tralala la lère ; bien plus tard cependant, la fille mandarine rentre à la maison (où papa et maman mandarine se font du soucis) toute triste et bien embêtée…
Alors papa et maman mandarine sont encore bien plus inquiets et lui posent des questions; c’est pas facile, mais au bout d’un moment, entre deux sanglots, la fille mandarine finit par admettre : « C’est le fils citron, il a eu un zeste malheureux, et j’ai peur d’avoir des pépins… »