Blagues diverses

Le citron gangster

C’est un citron qui fait un hold-up dans une banque. Muni de son foulard autour du cou et brandissant un revolver, il rentre brutalement en bousculant le gardien à l’entrée et crie :
– Pas un zeste, ze suis pressé !

Ivres de saucisse

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Deux poivrots fauchés sont en manque de bière. Le premier dit à l’autre :
– J’ai une idée. Puisque l’on a que 2 euros pour nous deux et que c’est trop peu pour aller dans les bars, on va aller acheter un hot-dog au coin de la rue…

Le deuxième poivrot ne comprend pas bien la technique mais il laisse faire. Une fois la saucisse achetée, le premier tire le second dans le bar le plus proche. Là, ils commandent plusieurs verres qu’ils descendent promptement.

Lorsque le barman arrive dans leur direction avec l’addition, le premier prend la saucisse, la glisse dans la braguette du second, et entreprend de faire une fellation à la saucisse !

Le barman est furibard :
– TIREZ-VOUS DE MON BAR ESPÈCES DE DÉGÉNÉRÉS !

Voyant que la technique a fonctionné dans le premier bar, les deux compères pénètrent dans le deuxième bar le plus proche et répètent le scénario… Toujours avec le même succès.

Quelques heures et quelques bars plus tard, ils ne peuvent plus faire un pas tellement ils sont bourrés, et ils s’écroulent sur un banc. A ce moment là, le premier dit au second :
– Tu as vu ce qu’on peut faire avec une saucisse ?

Et l’autre lui répond :
– Quelle saucisse ? On l’a perdue après le deuxième bar…

Le pharmacien et les vignobles

Deux hommes ivres entrent dans une pharmacie et ordonnent :
– Garçon, deux beaujolais !

Le pharmacien essaie de les raisonner :
– Ce n’est pas un café, ici, mais une pharmacie.
– On s’en moque ! Deux beaujolais… où on te casse la figure…

Sans plus discuter, le potard va dans l’arrière-boutique et revient avec deux verres pleins d’huile de ricin que les deux hommes avalent d’un trait. Au bout de quelques instants l’un d’eux s’écrie :
– Je suis sûr qu’il nous a possédés, ce garçon. A voir ce qu’il est acide, ce pinard, je parie qu’il nous a servi un Côtes-du-Rhône.