Une station de radio parisienne va lancer un grand concours parmi ses auditeurs. – Qu’est-ce qu’on peut leur donner comme prix vraiment alléchants ? Demande le chef du service publicité. – Je propose, dit un de ses collaborateurs, en deuxième prix, une superbe Mercédès, d’une valeur de 25.000 euros – Très bien. Et comme premier prix ? – Que diriez-vous d’une place de stationnement gratuite pour un an ?
Ça se passe à Las Vegas. Un gars a dépensé tout l’argent qu’il avait en une seule nuit, tant et si bien qu’il n’a même plus la moindre pièce de monnaie pour utiliser les toilettes (les portes utilisent un monnayeur).
Le voilà obligé d’emprunter une pièce à un autre joueur pour pouvoir satisfaire son envie pressante. Par bonheur, lorsqu’il descend aux toilettes, une des portes est restée ouverte et le gars en profite pour économiser son dollar.
Une fois de retour dans la salle de jeux, il prend sa pièce et s’empresse d’aller la glisser dans la fente d’une machine à sous… JACKPOT ! Alors il fonce à la table de Blackjack et mise la totalité de ses gains… Le voilà millionnaire en dollars !
Dans les jours qui suivent, l’histoire vient aux oreilles d’un journaliste qui passait par là. Le gars fait un reportage sur ce gagnant incroyable, qui raconte bien volontiers comment, grâce au bon coeur d’un autre joueur du casino, il a pu devenir riche à millions… Et le joueur ajoute même : – Si un jour on retrouve mon bienfaiteur, je promets de lui faire don de la moitié de la fortune !
Quelques jours après la parution de l’article, le joueur reçoit la visite du gars qui lui avait donné la pièce et qui lui dit : – Eh bien voilà, je suis le gars qui vous a passé un dollar quand vous vouliez aller aux toilettes du casino… Vous vous souvenez ?
Et le joueur lui répond : – Oui je me souviens très bien. Mais je ne parlais pas de vous mais du gars qui avait laissé la porte des toilettes ouverte…
Un mec rentre dans un bar, se met au milieu du comptoir et commande un café. Le garçon le sert et lui demande de lui régler 3 euros. Le type sort alors 3 pièces de 1 euro, en met une en face de lui, et jette les deux autres à droite et à gauche du zinc.
Le barman assez surpris ne bronche pas, prend la pièce en face de lui et va de part et d’autre du comptoir pour récupérer les 2 autres pièces. Le type boit son café et s’en va.
Le lendemain, il revient et recommande un café qu’il repaye au même garçon avec 3 pièces de 1 euro dispersées le long du comptoir. Notre barman en parle au barman qu’il remplace de temps en temps et qui connaît bien les clients du café.
L’autre barman lui dit de ne pas s’énerver, que ce gars là a toujours payé ses cafés de cette manière là, et qu’il valait mieux s’écraser car le gars n’est rien d’autre que le propriétaire du café lui-même (le patron n’est que locataire).
Ce cirque dure pendant 3 jours et énerve de plus en plus le barman, lorsqu’un matin le type paye son café avec un billet de 5 euros. Le garçon esquisse un sourire car il voit arriver l’heure de la revanche : il prend le billet de 5 euros (qui est en face de lui) et prend dans sa poche 2 pièces de 1 euro pour rendre la monnaie qu’il lance à gauche et à droite sur le zinc du comptoir.
Le type regarde les 2 pièces de 1 euro qui sont à 5 mètres l’une de l’autre. Il sort alors une pièce de 1 euro de sa poche qu’il pose en face de lui en disant : « Un autre café SVP. »
Un homme est sur la chaise électrique. Le bourreau va allumer le courant quand le condamné attrape le hoquet. « Une dernière volonté ? », interroge le bourreau. « Oui, hic, pouvez-vous, hic, s’il vous plaît, hic, me faire peur ? »