Blagues diverses

Le concours de secourisme

Concours de secourisme :
– Comment pratiquez-vous la méthode de respiration artificielle, dite « bouche à bouche » ? demande l’examinateur.
– Ben, c’est simple. D’une main, je bouche le nez de la personne, de l’autre, j’ouvre sa bouche et je retire son chewing-gum.

La blague du pari de l’hémorroïde

C’est un joueur impénitent qui rentre un beau jour dans un bar gay. Il commande une Seize et s’immisce dans la conversation de ses voisins de tabouret. Lorsque l’un des deux homos se rend aux toilettes pour aller vider sa vessie, le joueur prend l’autre gay par l’épaule et lui dit :
« Tu aimes les paris ? Je te parie 100 balles que tu as des hémorroïdes ! »

L’homo, sûr de l’intégrité parfaite de son anatomie lui répond :
« Pari tenu » et joignant le geste à la parole, il baisse son pantalon au beau milieu du bar et dévoile une rosette parfaite : pas la moindre hémorroïde en vue.

Bon perdant, le joueur sort de son portefeuille un billet de 100 euros et reprend place sur son tabouret pour finir sa bière. À ce moment-là, le gay qui était allé pisser revient au bar, et son compagnon, pas mécontent du pari qu’il vient de gagner lui raconte toute l’histoire avec délectation.

Mais à sa grande surprise, son ami ne rit pas et il se met même à pâlir :
« Ah quel enfant de s… » rugit-il, « il n’y a pas dix minutes, cet enfoiré avait parié 200 balles avec moi qu’il parviendrait à te faire montrer ton cul devant tout le monde ! »

Tout au fond du puit

Un couple de Parisiens se promène à la campagne. La nuit descend. Soudain, le mari disparaît. Il vient de tomber dans un nouveau puits sans protection.
– Antoine, Antoine ? crie la femme. Réponds-moi ! Jusqu’où as-tu de l’eau ?

D’un vague glouglou émergent quelques paroles :
– Jusqu’aux chevilles !
– Ah, tu me rassures !

Et la précision arrive dans un autre glouglou :
– Oui, mais je suis tombé la tête la première.

La blessure du footballeur

« Ce patient a subi une importante opération au genou à la suite d’un grave accident de voiture », explique le chirurgien à l’infirmière. « C’est un joueur de foot professionnel, et il est absolument indispensable que vous suiviez scrupuleusement la checklist des soins que je vais vous énoncer, sinon, ce joueur pourra dire adieu à sa carrière. »

Et le médecin commence la litanie :
« Une injection de Praxiparine à 16 heures, une alphachymotrypsine toutes les deux heures, cinq mg de kétoprofène toutes les six heures en perfusion, un comprimé de cefadroxyl trois fois par jour et dix mg par kg par jour de gentamycine en perfusion. Vous devrez forcer le patient à boire au moins quatre litres d’eau par jour en lui faisant prendre cette boisson toutes les deux heures. Quant à son genou, il devra être sous glace toute la journée et vous veillerez personnellement à contrôler la température à la surface de sa peau qui ne devra pas descendre sous les six degrés. Veillez aussi à être attentive au moindre souhait du patient et mettez le sous pompe à morphine qu’il pourra ajuster à la demande. En suivant ces consignes à la lettre, nous pourrons garantir que ce footballeur marquera à nouveau des buts dans le championnat dans six mois. »

Le médecin s’éloigne et l’infirmière entre alors dans la chambre du patient. Elle est accueillie par le footballeur et ses parents, ainsi que par l’entraîneur. Tous la regardent avec anxiété. L’entraîneur lui demande :
« Alors mademoiselle, que vous a dit le médecin ? Ça va aller ? »

L’infirmière répond alors :
« Le docteur a dit que vous alliez vivre, » puis, regardant la liste des soins laissée par le chirurgien, elle ajoute, « mais à votre place, j’envisagerai tout de suite une reconversion dans la pêche à la ligne ou le tir à l’arc… »