Blagues mort

Plus que douze heures à vivre

Un homme est en consultation à l’hôpital. Le médecin lui apprend qu’il n’a plus que douze heures à vivre.

L’homme rentre chez lui et annonce la nouvelle à sa femme. Ensuite il ajoute :
– Voici ce que j’aimerai faire pendant ces douze heures : D’abord un bon dîner, ensuite aller boire et danser tout le reste de la nuit…

Sa femme lui répond alors :
– Oh la la, c’est facile pour toi… On voit bien que tu n’as pas à te lever demain matin !

La revanche du mariage

Quand j’étais plus jeune, je détestais aller aux mariages parce que mes vieilles tantes et mes grands-parents venaient près de moi, me donnaient une grande claque amicale dans le dos en lançant un joyeux : « T’es l’prochain, gamin ! ».

Ils ont arrêté cette stupide blague quand j’ai commencé à leur dire la même chose aux enterrements !

Les dernières volontés du monsieur très riche

Un monsieur très riche a appelé son notaire sur son lit de mort car au dernier moment, il veut changer ses dernières volontés…
– Je veux laisser tout ce que je possède, actions, titres de propriétés, immeubles et tableaux de maîtres, je veux tout laisser à ma femme, mais avec une condition…
– Et quelle est elle ? demande le notaire.
– Si elle veut tout hériter de moi, ma femme doit se remarier dans les six mois qui suivent ma mort !

Le notaire est assez désabusé par la condition demandée par son client, et il demande :
– C’est assez inhabituel comme condition. Vous avez une explication pour cela ?
– Oh oui ! C’est parce que de cette façon, je suis sûr qu’au moins une personne regrettera ma mort.

Alors le notaire commence à rédiger le nouvel acte… Et puis le mourant l’interrompt pour lui faire une recommandation de plus :
– Dans mes dernières volontés, ajoutez que je veux être incinéré et qu’ensuite mes cendres soient dispersées dans la mer.

Le notaire à qui on ne la fait pas demande tout de suite pourquoi, et le vieux répond :
– C’est juste pour le cas où ma femme voudrait faire ce qu’elle a toujours dit qu’elle ferait à ma mort… danser sur ma tombe.

Les paroles autour du cercueil

Trois camarades périssent en même temps dans un accident de la route. Ils arrivent au ciel, et là, Saint Pierre leur pose à tous la même question :
« On va vous enterrer dans quelques jours. Lorsque vos amis et parents seront réunis autour de votre cercueil, qu’espérez-vous les entendre dire ? »

Le premier type répond :
« J’aimerais les entendre dire que j’ai été le plus grand médecin depuis Louis Pasteur… Et un père de famille exemplaire. »

Le second se prononce à son tour :
« J’aimerais qu’ils disent que je fus un professeur de faculté exceptionnel et l’époux idéal que ma femme méritait. »

Et le troisième de répondre :
« Moi, je préférerais les entendre dire : Regardez, il bouge ! »

La bête bonne action

C’est un gars qui arrive au Paradis. Il est accueilli par Saint Pierre.

Celui-ci feuillette son grand livre pour voir si le gars mérite de passer la porte… Au bout de quelques minutes pendant lesquelles il se trifouille la barbe et prend un air préoccupé, Saint Pierre dit : – Ha… je ne vois rien là dedans qui me dit que vos actions ont été bonnes durant votre vie. D’un autre côté, vous n’avez rien fait de vraiment mal non plus… On va faire un marché : Si vous pouvez me raconter une VRAIMENT BONNE ACTION dont vous êtes l’auteur, je vous laisse entrer au Paradis.

Le gars réfléchit et répond:
– Oui oui ! Il y a eu cette fois où j’étais sur une nationale en voiture, et soudain je vois une bande de Hell’s Angels en train d’encercler une jeune fille sur un parking. Alors je m’arrête, je fais marche arrière et je vais moi aussi sur le parking. Là il y avait bien une cinquantaine de gars qui commençaient à torturer la fille avant de la violer certainement. Complètement révolté, je sors de ma voiture, je prend un démonte-pneu dans mon coffre et je fonce droit sur le leader de la bande, un type énorme avec un blouson de cuir à clous et une chaîne en or qui allait de son nez à son oreille. Alors que je m’approche de leur chef, le reste de la bande m’encercle… A ce moment là, j’attrape la chaîne du biker et je lui arrache du nez et de l’oreille, puis je lui donne un bon coup de démonte-pneu sur la tête. Ensuite je me tourne vers les autres et je leur crie : « Bande de malades. Vous êtes pires que des bêtes ! Rentrez chez vous avant que je ne me fâche ! »

Saint Pierre est impressionné par le récit du gars et il dit :
– Ça s’est vraiment passé comme ça ? Bravo… Et quand est-ce que ça a eut lieu ?
– Oh… Il y a à peu près deux minutes.