Mois : septembre 2016

Les copains lui disent bercy

dessin humoristique de Michel Sapin en train d'examiner le caleçon de Jérôme Cahuzac
13 septembre 2016 – Les copains lui disent bercy

Mais pourquoi Michel Sapin n’est-il pas allé regarder dans les sales affaires de Cahuzac ?
(Caricature Michel Sapin et Jérôme Cahuzac – Dessin du 13 septembre 2016)

Le chauffage dans les institutions religieuses

Dans une institution religieuse, le règlement intérieur prévoyait que le chauffage ne devait pas être allumé avant une certaine date. La chose était quelquefois difficile à vivre, surtout pour les pensionnaires, la nuit, dans les dortoirs humides et peu isolés de ces vieux bâtiments.

Une certaine année, l’hiver fut vraiment très en avance. Aussi bien les jeunes filles internes que les jeunes garçons réclamèrent que le chauffage soit au moins allumé la nuit. Mais la direction resta insensible à leurs arguments.

Après plusieurs nuits frigorifiantes, les jeunes filles se rendirent compte qu’elles disposaient d’un argument de poids face à cette direction intransigeante : en effet, leur dortoir étant situé dans le bâtiment faisant face à celui des garçons, elle étendirent un drap à une de leurs fenêtres sur lequel il était écrit :
« ALLUMEZ LE CHAUFFAGE SINON ON ALLUME LES GARÇONS ! »

La blague du poids sexuel

C’est l’histoire d’un jeune play-boy qui emmène une belle jeune fille à la fête foraine. Ils font un tour sur les montagnes russes, et la fille semble déjà s’ennuyer :
– Qu’est-ce que tu aimerais faire ensuite ? Demande-t-il.
– Je voudrais que tu me pèses. Répond la fille.

Le jeune gars emmène alors la fille sur une balance de foire et il lui donne le verdict :
– 55 kilos.

La fille semble un peu de mauvaise humeur d’apprendre ça, puis ils s’éloignent. Le jeune gars décide d’aller faire un tour de grande roue. Puis ils s’arrêtent pour acheter de la barbapapa et une glace. Après ça, le gars demande à la fille ce qu’elle aimerait faire. Elle insiste :
– Allez, j’en ai marre. Pèse-moi, maintenant !

Le garçon commence à se demander s’il n’est pas tombé sur une givrée totale. Prétextant un mal de tête, il décide de rentrer. Il dépose la fille chez elle au préalable. La mère de la fille est étonnée de voir sa progéniture rentrer si tôt. Elle demande :
– Qu’est-ce qui se passe ma chérie ? Vous ne vous êtes pas amusés ? Le garçon qui t’accompagnait n’était pas gentil ?
– C’est un vrai pranleur ! Répond la fille.