Mois : juillet 2014

La blague de la drague en maison de retraite

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Lucie et Germaine sont deux vieilles qui vivent dans une résidence pour personnes âgées. Elles sont veuves toutes les deux mais Germaine aimerait tellement retrouver l’âme soeur… Un jour, la rumeur d’un nouvel arrivant de sexe masculin vient à leurs oreilles. Comme la rumeur dit aussi que le vieux monsieur est encore très bien conservé et qu’il a de bonnes manières, nos deux vieilles sont toutes excitées et décident d’en savoir un peu plus !

Germaine dit :
– Lucie, tu sais combien je suis timide. Tu ne voudrais pas aller discuter un peu avec lui pour connaître ses intentions ?
Lucie qui n’a peur de rien est tout à fait d’accord.

Aussi, au repas suivant, elle se place à la table du nouvel arrivant et essaie de lui tirer les vers du nez :
– Alors comme ça, vous êtes nouveau ici ? Mon amie Germaine et moi, nous nous demandions pourquoi un homme si bien de sa personne comme vous, et si jeune, venait dans une résidence comme la notre sans compagnie…

L’homme répond:
– C’est que je sors de prison… J’y ai passé 20 ans !
– Non, c’est pas vrai ? Vous plaisantez ? Et pour quelle raison ?
– J’ai tué ma troisième femme. Je l’ai étranglée…
– Et qu’est-il arrivé à votre deuxième femme ?
– Je l’ai tuée aussi. Avec mon revolver.
– Heu, et votre première femme alors ?
– Elle est tombée par le balcon de l’immeuble où l’on habitait au cours d’une dispute.

Alors Lucie se tourne sur sa chaise, et regardant Germaine à la table d’à côté elle cache sa bouche avec sa main et chuchote très fort :
– Tout va bien Germaine, il est veuf !

S’embrasser avant le mariage

Jean-Louis s’élance vers sa maman en criant :
– Maman, maman, viens voir, Philippe embrasse Nicole !
– Ce n’est pas grave, Jean-Louis. Ton grand frère et Nicole vont se marier. Ils ont donc le droit de s’embrasser.

L’enfant reste un moment stupéfait puis demande :
– Mais alors, peut-être que Papa va épouser la bonne ?

La sœur qui avait des gaz

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L’abbé Nédictine, en visite au couvent, voyant passer la sœur Gabrielle et son ventre protubérant :
– Dites-moi sœur Gabrielle, vous ne prendriez pas un peu de poids en ce moment ?
– Oh non mon Père, ce n’est qu’un peu de gaz. J’ai toujours beaucoup de mal à digérer le chou…

Quelques mois plus tard, l’abbé Nédictine revient rendre visite aux sœurs. Et voyant la sœur Gabrielle encore plus engoncée dans sa tenue de religieuse, il lui demande :
– Sœur Gabrielle, êtes-vous bien sûre de ne pas grossir ces temps-ci ?
– Non non, Mon Père, c’est qu’il y avait du cassoulet ce midi au réfectoire, et vous savez que j’ai tendance à digérer difficilement, répond la sœur Gabrielle en rougissant.

Six mois plus tard, l’abbé Nédictine passe à nouveau rendre visite aux religieuses. Et voyant la sœur Gabrielle en train de pousser un landau de bébé, l’abbé Nédictine s’approche, se penche vers le bébé et dit :
– Oh le joli petit pet !

Les chats socialistes

Ça se passe en 1981 juste après l’élection de Mitterrand. Et Pierre Maurois, le nouveau premier ministre et maire de Lille va visiter une école à Roubaix.

Donc, la maîtresse, pour ne pas être prise au dépourvu, demande à tous les élèves de dire ce qu’ils voudraient raconter à Pierre Maurois.

Vient le tour de Cafouniet’ (personnage mythique de Denain dans le Nord) :
Cafouniet’ : « moi, m’dame, ma chatte vient d’avoir 5 petits, et ils sont tous socialistes ! »
La maîtresse : « Ah, très bien, ça va sûrement intéresser M. Maurois… »

Le jour tant attendu, Pierre Maurois est dans la classe, et il interroge les petits. Arrive le tour de Cafouniet’ :
Cafouniet’ : « Moi m’sieur, j’ai 5 petits chats, dont 3 socialistes… »
La maîtresse : « Mais, tu avais dit qu’il y en avait 5. »
Cafouniet’ : « Oui, mais il y en a 2 qui ont ouvert les yeux. »