poème séparation

Voir

Voir le temps qui passe et nous vieillir,
Voir la mort emporter parents, amis
Voir l’amour qui vient et nous embellit
Te voir crée un court instant de magie

Voir la souffrance et avoir pitié
Voir le mieux et le prendre pour le pire
Voir son âme et rester horrifié
Te voir, t’aimer, et pouvoir te le dire

Voir l’ennui et penser à cette vie
Voir l’homme et penser à sa folie
Voir un diamant mal taillé, mal poli
Te voir encore me torture d’envie

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

Une lettre d’amour

Une lettre d’amour, c’est comme un peu de soleil
Eclairant les ténèbres de la solitude
Une lettre d’amour, ce sont des mots sans pareils
Pour briser les chaînes de la servitude

A travers la distance qui nous sépare
Je te donne encore une fois mon cœur
Je voudrais tant pouvoir te serrer dans mes bras
Et si de tristesse cette lettre se pare
C’est parce que seul près de toi est le bonheur
Je voudrais tant pouvoir te serrer dans mes bras

Une lettre d’amour, c’est comme un peu de soleil
Eclairant les ténèbres de la solitude
Une lettre d’amour, ce sont des mots sans pareils
Pour briser les chaînes de la servitude

Je vais bien et tu me manques, tu es si loin
Te souviens-tu de ce jour où tu es partie
Et que tu m’as demandé de penser à toi
De notre séparation tant je m’était plaint
Et quand de toi l’absence trop j’ai ressenti
J’ai relu les lettres que toujours tu m’envoies
Une lettre d’amour, c’est ce qui te fait vivre
Quand ton âme sœur n’est pas à tes côtés
Une lettre d’amour, c’est ce qui t’enivre
Quand l’objet de ton amour de toi est ôté

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

Où es-tu ?

Quand j’ai mal, solitaire et inconscient,
Quand j’ai peur, délétère et survivant
Un refrain dans mon cœur, dans mon esprit :
Où es-tu, toi qui un jour est partie ?

Quand je pleure, quand mon cœur, blessé grave,
Verse son dernier sang, un goût suave,
Un fiel dont on veut tuer mon âme :
Où es-tu, l’amour que je déclame ?

Un jour sans toi et je meurs une fois,
Des siècles écoulés depuis ce jour,
De la résurrection donne-moi l’emploi.

Et moi j’ai cru, j’ai pensé, pauvre fou,
Pouvoir retenir mes larmes toujours,
Où es-tu ? Où es-tu ? Où es-tu ? Où ?

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

Les heures sans toi

Les heures des années
Les pleurs surannés
Moi je ne vis plus
Que par ta pensée

Seul, abandonné
Espoir, cœur donné
Moi je ne veux plus
Un bonheur blessé

Demeure avec moi
L’image de toi
Un présent sans but
Une vie sans éclat

Un espoir persiste
Et moi qui insiste
Un futur qui lutte
Pour que tu sois là

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

Je pense à toi

Comme un rêve que l’on effleure,
Et auquel jamais on ne croit,
Comme vouloir toucher une fleur,
Chaque jour je pense à toi.

Comme une idée que l’on caresse,
Et qui jamais ne se réalise,
Comme prier une déesse,
Te revoir est le but que je vise.

Comme une blessure au cœur,
Ces jours arrachés au bonheur
Et sur lesquels je m’apitoie

Sont plus que tout un calvaire :
Où que tu sois sur la terre,
Toujours je vis l’envie de toi.

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.