blague WC

La blague de la feuille de vigne

Un rabbin ayant une envie très pressante rentre dans un bar pour la satisfaire. Au moment où il rentre dans le bar, le brouhaha et la musique ambiants disparaissent pour laisser la place à un silence très lourd.

Le rabbin s’avance vers le barman et demande :
– Pourrai-je utiliser vos toilettes ?

Le barman lui répond :
– C’est que… je ne sais pas si c’est un endroit pour vous !

Mais le rabbin insiste :
– Je vous en prie, il s’agit d’une envie pressante. Ne me laissez pas dans le besoin.

Alors le barman :
– C’est que Monsieur le rabbin, nous avons dans les toilettes de ce bar la statue d’une femme qui mis à part une feuille de vigne est complètement nue, et je ne voudrais pas que vous soyez gêné par cela.

Le rabbin lui dit alors en se dirigeant vers la porte des toilettes :
– Ne craignez rien. Je suis tout à fait capable de supporter la vue de ce genre d’objet païen.

Au bout de quelques minutes, le rabbin est de retour dans le bar, mais cette fois-ci, la musique bat son plein et le brouhaha montre que tout le monde discute de bon coeur.

En s’approchant du barman, le rabbin demande :
– Je ne comprends pas très bien… Tout à l’heure quand je suis rentré, il n’y avait pas de musique, personne ne parlait, et maintenant, c’est tout le contraire.

Le barman répond :
– C’est que maintenant on sait que vous êtes des nôtres. Et d’ailleurs, pour fêter ça, je vous offre un coup à boire !
– Et pourquoi me considérez-vous comme « un des vôtres » ? Parce que j’ai utilisé les toilettes du bar ?

Alors le barman lui répond avec un grand sourire :
– Non, pas tout à fait. Il faut vous expliquer que à chaque fois que quelqu’un va aux toilettes et soulève la feuille de vigne, alors toutes les lumières s’éteignent et se rallument dans le bar… Alors vous le prenez ce verre ?

La blague des toilettes du pasteur

Une famille anglaise passe ses vacances en Allemagne et découvre lors d’une promenade une charmante maisonnette. Décidés à la louer, ils signent un contrat de location avec le proprio qui n’est autre… qu’un pasteur protestant. A son retour en Angleterre, la mère ne se souvient pas d’avoir vu de toilette et décide d’écrire au pasteur à ce sujet :
« Cher pasteur, je suis votre future locataire et je n’ai pas vu de WC dans votre maison, pourriez-vous me donner des indications à ce sujet ? »

Le pasteur croyant que l’abréviation WC signifiait Wales Chapel (chapelle de Galles), il lui répondit ceci :
« Madame, j’accède volontiers à votre demande, et vous signale que ce lieu se trouve à 10 kilomètres de la maison… ce qui est gênant si l’on veut s’y rendre tous les jours.

Celui qui est habitué à y rester longtemps à intérêt à apporter de quoi manger, comme ça, il peut y rester toute la journée.

Il est important d’arriver à l’heure, d’une part pour ne pas déranger les autres, mais aussi pour trouver des places assises, ce qui n’est pas évident vu le monde qu’il y a !

L’ambiance y est chaude et joyeuse, les enfants et les grandes personnes chantent en coeur.

Tout ce qu’on y laisse est donné au pauvres.

A l’entrée, on vous donne une feuille qu’il faut déposer à la sortie afin qu’elle puissent être utilisée à nouveau.

Attention, ceux qui arrivent en retard doivent se servir de la feuille de leur voisin !

L’endroit est enfin sonorisé afin que les gens puissent entendre même en étant dehors .

Des journées portes ouvertes sont organisées pour que les non initiés puissent se rendre compte de ce que l’on y fait.

Vous trouverez enfin des photographes qui pourront vous prendre en photo dans cette attitude si humaine et si pieuse. »

Le bombardement allemand

L’histoire se passe pendant la seconde guerre mondiale. Les allemands bombardent une petite ville, les immeubles tombent comme des châteaux de cartes.

Après le bombardement, on fouille les décombres, à la recherche d’éventuels survivants. On trouve sous les gravats un petit vieux assis sur les chiottes qui se tord de rire, et tient un petit morceau de bois dans la main.

Les secours :
« Et ça vous fait marrer, hein ? »

Le pépé :
« Oh, bah pour sûr !, c’est la première fois que quand je tire la chasse, toute la maison vient avec…! »