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Le génie du fonctionnariat

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Un fonctionnaire qui avait décidé de faire un peu de ménage dans les armoires de son bureau, trouve, caché sous une pile de cartons empoussiérés, ce qui ressemble fort à une lampe à huile en métal doré.

Trouvant l’objet à son goût, l’employé de l’état décide de le ramener chez lui pour l’exposer sur sa cheminée. Le soir, alors qu’il est en train d’astiquer la lampe, un nuage de fumée envahit la pièce et un génie apparaît :
– Je suis le génie de la lampe, dit l’être extraordinaire, et je peux t’accorder trois vœux.

Étonné et ravi, le fonctionnaire demande tout de suite :
– Je voudrais être beau et musclé comme un top model masculin.
Et aussitôt, le génie le transforme en bel Adonis.

Le fonctionnaire demande ensuite :
– Je veux être envoyé dans une île polynésienne uniquement peuplée d’indigènes nymphomanes !
Et d’un seul coup, le fonctionnaire atterrit sur une plage de sable blanc, au beau milieu d’un lagon, encerclé par des jeunes femmes qui jettent sur lui des yeux remplis de désirs.

Au génie qui l’a accompagné, le fonctionnaire prononce alors son troisième souhait :
– Je voudrais ne plus jamais avoir à travailler !
Et POUF ! Le fonctionnaire se retrouve assis à son bureau…

Les souhaits d’un migrant

Un migrant rencontre une fée qui lui propose de faire trois vœux qu’elle peut exaucer.

Le migrant fait son premier vœu : « Je veux de l’argent pour moi et ma famille ».
La fée consulte la loi française : pas de problème.

Le migrant fait ensuite son deuxième vœu : « Je veux une grande maison ».
La fée consulte la loi française : pas de problème.

Pour son troisième vœu, le migrant réfléchit et dit : « Je veux être français. »
Et d’un coup, plus de maison, plus d’argent, tout a disparu.

Le migrant demande alors :
– Hé c’est quoi ça ?
– Maintenant que tu es français, si tu veux quelque chose : va travailler !

Par ici la monnaie !

Un jeune homme, venu présenter ses vœux le premier de l’an à son parrain dont l’avarice est proverbiale, lui dit :
– Mon cher parrain, figurez-vous que j’ai rêvé une chose agréable.
– Ah ! Et quoi donc ?
– Que… vous me prêtiez cent euros.
– Eh bien ! Mon cher filleul, garde tout. Inutile de me rembourser.