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La blague de la nudité religieuse

Un pasteur protestant, un prêtre et un rabbin décident d’aller faire une ballade par un beau dimanche d’été. Il fait très très chaud et les trois amis sont épuisés et en sueur lorsqu’ils arrivent sur les berges d’un petit lac aux eaux claires.

L’endroit étant vraiment retiré de tout, ils n’hésitent pas une seule seconde et retirent tous leurs vêtements avant d’aller « piquer une tête » dans le lac.

S’étant bien rafraîchi, le trio sort de l’eau et entreprend de ramasser quelques myrtilles, toujours en tenue d’Adam… Seulement, alors qu’ils arrivent dans une clairière, ils tombent nez à nez avec un groupe d’une dizaine de dames qui visiblement avaient choisi cet endroit comme lieu de randonnée.

Sachant qu’il leur est impossible de retrouver leurs vêtements à temps, le pasteur et le prêtre cachent tant bien que mal leurs « parties » derrière leurs mains. Le rabbin, par contre, se sert de ses mains pour se cacher la face !

Après que les dames aient quitté les lieux et que les trois amis se soient rhabillés, le pasteur et le prêtre s’enquièrent de la réaction de leur confrère rabbin : « Pourquoi s’est-il caché le visage, plutôt que ses organes génitaux ? »

Et là le rabbin leur répond :
« Mes amis, je ne sais pas comment ça se passe chez vous, mais dans ma congrégation, c’est mon visage que les fidèles risqueraient de reconnaître… »

La blague du tatouage des seins

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Dans une ville de la côte, une fille tombe amoureuse d’un marin. Pour lui prouver son amour, elle se fait tatouer son visage sur le sein droit… Mais rien ne dure, et quelques temps plus tard le marin prend le large.

Peu après, la voilà amoureuse d’un beau militaire. Ne voulant pas que son nouvel amant soit jaloux, elle se fait à nouveau tatouer le visage du type sur l’autre sein… Mais ce que c’est que l’amour, hein… Là encore, la passion ne dure pas et le militaire la laisse tomber.

Un an plus tard, elle tombe encore amoureuse, cette fois-ci d’un garçon boucher. Lors de la première nuit qu’ils passent ensemble, au moment où ils se déshabillent, le garçon boucher est pris d’un fou-rire incontrôlable. Elle lui demande :
– Tu peux me dire ce que j’ai de si drôle ?

Et le gars, entre deux gloussements :
– C’est juste que je pense à la gueule que ces deux là allaient tirer dans dix ans…