blague viol

La migraine du gorille

Un couple va se promener au zoo et contemple la cage où évolue un énorme gorille. Soudain, l’animal regarde la femme attentivement, puis, comme un fou, se rue vers les barreaux, les écarte, saisit la femme dans ses gros bras velus et l’emmène au fond de sa tanière. L’épouse hurle :
– Au secours ! Dis-moi ce que je dois faire !
– Fais comme avec moi, chérie, dis-lui que tu as la migraine.

Ma femme chez les Hell’s Angels

C’est un gars qui arrive dans un bar en pleine campagne, les vêtements déchirés et la gueule en sang. Le cafetier :
– Mais qu’est-ce qui vous arrive mon bon monsieur ?
– Oh c’est rien, c’est une bande de Hell’s Angels qui ont pété ma voiture.
– Mais c’est terrible !
– Ben ouais ensuite ils m’ont cassé la gueule et violé ma femme !
– Mais faut aller porter plainte tout de suite !
– Ah non, pas question ! Sauf s’ils relâchent ma femme !

Les vieilles outragées

Deux dames du club du troisième âge prennent le thé devant des petits gâteaux.
– Alors, quoi de neuf depuis la dernière fois qu’on s’est vues ?
– Oh, tu sais ce Monsieur Martin qui vient tout juste d’emménager à côté de chez moi et qui s’est inscrit tout de suite à notre club, eh bien hier soir, nous sommes sortis ensemble. Il est arrivé sur le pas de ma porte avec un bouquet de roses à la main. Ensuite, comme un vrai gentleman, il m’a emmenée au restaurant et nous avons pris un plateau de fruits de mer. Puis, toujours en gentleman, il m’a invité à prendre un verre au piano-bar. Sur le coup de minuit, il m’a raccompagné jusque chez moi, toujours avec la manière. Là, je n’ai pas voulu le laisser repartir comme ça, alors je l’ai invité à rentrer prendre un dernier verre. À ce moment-là, il s’est approché de moi et m’a arraché tous mes vêtements, il m’a tiré de force sur le lit et m’a fait subir les pires outrages !…
– Oh Mon Dieu, répond l’autre, et dire qu’il m’a donné rendez-vous ce soir ! Qu’est-ce que tu crois que je dois faire ?
– Ben, si j’étais toi, je mettrais des vieux vêtements.

Le viol invisible

Les perles : la police

Mme X. se plaint pour la seconde fois dans le même mois d’avoir été violée pendant la nuit. Aux questions du gendarme, elle répond qu’elle ne s’est aperçue de rien pendant son sommeil, ce n’est qu’au réveil qu’elle en a senti les effets.