blague vente

Le paiement en nature du garagiste

Un automobiliste, accompagné d’une fille mal décolorée, aux jambes largement découvertes, arrive chez un garagiste et demande :
– Combien me donneriez-vous pour cette bagnole ?

Après un coup de d’œil rapide, le garagiste répond, d’un air dégoûté :
– 100 euros.
– Sans blague, s’esclaffe le conducteur. Et si je vous laisse ma nana avec ?
– En ce cas, donnez-moi 25 euros et l’affaire est faite.

Les 25 ans de mariage de Salomon et Rachel

Salomon et Rachel fêtent leur 25 années de mariage. L’événement est de taille et pourtant Rachel ne semble pas très heureuse. Salomon lui demande :
– Rachel, qu’est-ce que tu as ? C’est nos 25 ans de mariage et tu ne parais pas heureuse.

Rachel lui répond alors :
– Oui mais tu sais Salomon, en 25 de mariage, tu ne m’as jamais rien acheté.

Salomon :
– Mais Rachel, tu ne m’as jamais dit que tu avais quelque chose à vendre ?

Identique à de l’eau de Javel…

Dans une droguerie, une dame demande à un vendeur :
– Avez-vous de l’eau de Javel ?
– Non, répond le vendeur.
La cliente, déçue, s’en va.

Le patron, qui a entendu cette conversation, se précipite sur le malheureux vendeur qu’il secoue comme un prunier.
– Espèce d’imbécile ! Lorsque vous n’avez pas l’article que désire le client, il faut lui en proposer un similaire. Cette femme voulait de l’eau de Javel ; vous pouviez très bien lui vendre de l’Ajax ou n’importe quel produit nettoyant. Tâchez de vous en souvenir, à l’avenir.

Effectivement, un monsieur s’approche et interroge :
– Avez-vous du papier hygiénique ?
– Non, répond le vendeur..: Mais j’ai de l’excellent papier de verre.

La méthode de vente du bègue

C’est un gars qui vend des brosses à dents en porte-à-porte depuis quelques années déjà, et il en a marre : il décide de se mettre à son compte. Il passe donc une annonce pour recruter des jeunes vendeurs qui vendront les brosses à dents à sa place. Un candidat bègue se présente :

Le bègue :
– J-j-j-j-je v-v-v-voud-d-d-drais v-v-vend-d-d-dre d-d-des br-brosses à dents p-p-pour v-v-vous !

Le boss :
– Ah ça , pas question mon gars, tu as un sérieux problème d’élocution tu sais…

Le bègue :
– Allez p-p-p-patron l-l-l-laiss-ssez moi ess-ss-ssayer…

Le patron :
– Ok essaie si tu veux. Voilà le matériel.

Le lendemain :
– J-j-j-j’ai v-v-v-vendu t-t-tout le c-c-carton ! D-d-d-donnez moi d-d-d-dix c-c-c-cartons !

Le surlendemain :
– J-j-j-j’ai v-v-v-vendu t-t-tout les c-c-cartons ! D-d-d-donnez moi cinq-qu-qu-quante c-c-c-cartons !

Le surlendemain :
– J-j-j-j’ai v-v-v-vendu t-t-tout les c-c-cartons ! D-d-d-donnez moi cent c-c-c-cartons !

Le boss :
– Dis-moi un peu, quel est la raison de ton succès ? Quelle est la méthode que tu emploies pour vendre autant de brosses à dents ?

Le bègue :
– C-c-c-c’est s-s-s-simple. J-j-j-j’installe m-m-m-mon m-m-mat-t-tériel au coin de d-d-d-deux rues t-t-très fr-fr-fréquentées… J-j-je met une p-p-p-pancarte « D-d-dégus-s-station d-de cr-cr-crevettes sauce p-p-piquante gr-gr-gratuite ». J-j-j-je m-m-m-mets à la d-d-d-disposition du p-p-p-public un bol de sauce et d-d-des cr-cr-crevettes. Les gens pr-pr-prennent une cr-cr-crevette, la trempent d-d-dans la sauce et goûtent… « Beuarh ! Cette sauce a le goût de merde ». qu-qu-qu’ils d-d-disent et j-j-j-je rép-p-p-pond :
« C-c-c’en est. J-j-j-je v-v-vous v-v-vend une br-br-brosse à d-d-dents ? »