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La drague illustrée

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Un type raconte ses vacances à Rio de Janeiro à un ami :
– Tu vois, j’étais sur la magnifique plage de Copacabana, lorsqu’une splendide fille en string s’approche de moi. Comme on ne parlait pas la même langue, elle dessine sur le sable deux rectangles. J’ai compris qu’elle voulait mettre sa serviette à coté de la mienne. Plus tard, vers midi, elle dessine dans le sable un cône inversé avec deux boules dessus. J’ai compris qu’elle voulait une glace, et je lui ai offert une glace ! Vers 6 heures du soir, elle dessine une assiette avec un couteau et une fourchette, et je l’ai invité à souper. A la fin du repas, elle dessine sur la nappe un lit avec une table de chevet et une lampe, et là je n’ai pas bien compris…
– Quoi ?
– Comment elle savait que je travaillais chez Ikea !

Les vêtements rajeunissants

En sortant d’une cabine d’essayage, une dame d’une quarantaine d’années minaude :
– Je me demande si cette robe, à la fois décolletée et ultra-courte, ne me rajeunit pas trop.
– Pas du tout, proteste la vendeuse. La seule chose que je dois vous signaler c’est que si vous n’avez pas encore dix-huit ans, c’est votre maman qui doit nous faire le chèque.

Un revolver pour tuer ma belle-mère

Tout tremblant de colère, un homme arrive chez un armurier auquel il déclare :
– Je veux acheter un revolver.
– Certainement, monsieur. Je suppose que c’est pour tuer votre femme ?
– Non. C’est pour tuer ma belle-mère.
– Ah ! cela change tout ! Je vous conseille de patienter jusqu’à demain.
– Et pourquoi ?
– Aujourd’hui, vous êtes dans un tel état d’énervement que vous risqueriez de la manquer.

La blague du juif trompé

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C’est un juif, marié depuis bien cinquante ans. Il a tout fêté, les noces d’or, de diamant, de platine, et un jour sa femme lui dit :
– Ecoute David, je ne sais pas ce qu’il y a ce soir, mais maintenant j’ai envie qu’on se dise la vérité. J’ai envie de tout te dire. Je ne veux plus te mentir, et il y a une chose qu’il faut que tu saches.
– Ba ba ba, qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce tu m’fais ?
– Voilà, c’est à propos de notre fils… Il faut que je te dise la vérité, je ne peux pas te mentir plus longtemps.
– Quoi, notre fils ?
– Eh ben notre fils, ce n’est pas ton fils !
– C’est pas mon fils ? Qu’est-ce que tu me racontes là ? T’y es folle, ou quoi ?
– Non non, je ne suis pas folle. Rappelle-toi quand on avait notre magasin au Sentier. Tu te souviens ?
– Oui, je me souviens très bien !
– On avait un commis. Tu te souviens du commis qu’on avait ?
– Oui, je me souviens du commis qu’on avait !
– Il était blond, grand, costaud quoi ! Et alors voilà, je couchais avec lui, et notre fils, c’est le fils du commis.
– La misère ! C’est pas vrai ! Mais pourquoi il couchait avec toi, celui-là ? Lui qu’était beau comme tout, costaud, un vrai play-boy, pourquoi il couchait avec toi, que t’es si vilaine ? Parce que si je t’ai épousée, c’est pour ton argent, tu le sais bien ! Alors dis-moi pourquoi il couchait avec toi, celui-là ?
– Ben je lui donnais des sous…
– Quoi ?
– Oui, je lui donnais des sous !
– Et tu les prenais où, les sous ?
– Ben je les prenais dans la caisse…
– Putain, tu prenais des sous dans la caisse et tu dis que le fils il est pas à moi ? Arrête !