blague vantardise

Vantardise confessionnelle

Ça se passe à Marseille. C’est un brave Marseillais qui va se confesser. Alors il va voir le curé et il lui fait :
– Ouah ! Mon père, putaing c’est pas facile à dire, putaing voilà, cette nuit, j’ai… Cette nuit, j’ai fait acte de chair.

Le curé :
– Qu’est-ce que vous avez fait ?
– J’ai fait acte de chair, je vous dis !
– Vous avez fait l’acte de chair ?
– Ouais, ouais! Fâche de nine, c’est comme je vous dis.
– Et combien de fois, mon fils ?
– Combien de fois ? Oh quique ! Écoutez, mon père, je suis là pour m’humilier, pour me mortifier, je suis pas là pour me vanter !

Le brochet marseillais

Un Marseillais raconte ses histoires de pêche à un ami qui est venu prendre l’apéritif.
– Et alors, té, ce brochet, il était énorme, mais énorme ! Ah, j’ai eu du mal à en venir à bout ! Il était gros… comme un cochon !

Et du fond de la cuisine, ils entendent la femme qui dit :
– Oh, dis, il faut toujours que tu exagères ! Je t’ai dit trente-six mille fois que ce n’était pas vrai !

Toto et son père

Toto se vante auprès de sa maîtresse :
– Madame, mon père et moi, nous savons absolument tout sur tout.
– Alors quelle est la capitale de l’Espagne ? le questionne-t-elle.
– Heu non, ça je ne peux pas vous le dire, c’est mon père qui le sait.

Le sonotone écossais

Deux Écossais discutent :
– Je n’entends plus très bien et je n’ai pas l’argent pour acheter un appareil acoustique. Tu peux me conseiller ?
– Bien sûr. Tu prends un fil électrique et tu accroches un bouton au bout. Tu mets le bouton dans l’oreille et le fil dans ta poche.
– D’accord, mais avec ça, je n’entends rien !
– C’est vrai, mais les gens, en voyant cet appareil, élèvent automatiquement la voix.