blague vandalisme

Gobee bike

Alors là moi je dis bravo
Pour cette absence de cerveau
Car il est désormais acquis
Que la France est n’importe qui
Vous avez fait n’importe quoi
Regardez tout ce vandalisme
Et tout le monde reste coi
Devant un tel incivisme

Lazzi

Le déjeuner en banlieue

Un couple a réussi à persuader des amis parisiens de venir déjeuner chez eux, en banlieue.
– A la porte d’Orléans, leur dit la femme, vous prenez l’autoroute du Sud et vous roulez trente kilomètres pour bien pénétrer au cœur de l’Essonne. Une fois sortis à Corbeil nord, vous repérez la direction de la cité des Tartignolles. A partir de là, ça devient très simple. Une fois passé le terrain vague où les dealers de coke règlent leurs comptes à coups de fusil à canon scié, vous longez une avenue où toutes les voitures en stationnement ont été dépouillées de leurs pneus et de leurs antennes radio. Au sixième joueur de tam-tam, juste à côté d’un abribus en miettes et d’une cabine téléphonique ravagée par le feu, vous tournez à droite. Dès que vous serez arrivés devant chez nous, klaxonnez. Mon mari descendra aussitôt vous ouvrir… après avoir mis son gilet pare-balles.

Protestations estudiantines

Après une nuit d’émeute, quelques étudiants ont été interpellés, sur le campus d’une université.
– Pourquoi, demande un des flics, chargés de la garde à vue, avez-vous lancé des cocktails Molotov dans la cafétéria, brisé toutes les vitres des salles de cours, démoli à la hache le grand amphithéâtre et brûlé une douzaine de voitures, stationnées sur le parking réservé aux professeurs ?

L’un des étudiants explique :
– Nous voulions protester contre la violence dont avait preuve à notre égard un de vos collègues. Il s’était permis de faire une remontrance à un étudiant qui avait coiffé le recteur d’un seau contenant du goudron à peine tiède.