En Écosse, le pasteur avait eu une idée amusante : il avait organisé une exposition de tous les modèles de boutons qu’il avait récoltés dans le tronc de son église. L’entrée était gratuite mais on était prié de déposer son obole dans une boîte placée à proximité. L’exposition eut beaucoup de succès et lorsque le pasteur vida la boîte, il put enrichir sa collection de 54 nouveaux modèles de boutons.
Dans une église, deux araignées discutent : – Je déménage, dit la première, j’étais dans le clocher, mais c’est vraiment trop bruyant ! – Viens chez moi, dit la seconde, aucun bruit, aucun mouvement, c’est le silence complet ! – Pas possible ! Où loges-tu ? – Dans le tronc pour les pauvres.
Un homme marié va à confesse et avoue au curé : – Mon Père, pardonnez-moi parce que j’ai pêché… J’ai presque eu une relation avec une femme en dehors du mariage, presque… – Qu’est-ce que vous entendez par « presque » ? – Ben, on s’est déshabillé, puis on s’est frotté l’un contre l’autre, et puis je me suis ressaisi et j’ai tout arrêté.
Le prêtre lui répond : – Ecoutez mon fils, pour moi, se frotter nu l’un contre l’autre, c’est la même chose que d’aller jusqu’au bout de l’acte et « de le mettre dedans ». Alors je vais vous dire une bonne chose : vous direz 5 « Je vous salue Marie » et vous mettrez 50 euros dans le tronc des pauvres !
Le gars quitte le confessionnal et s’en va un peu plus loin pour prier et se repentir. Puis il va vers le tronc des pauvres, sort un billet, et s’apprête à partir lorsque le curé l’interpelle : – Hé je vous ai vu ! Vous n’avez pas mis votre billet dans le tronc des pauvres !
Et le gars répond : – Mais Mon Père, j’ai frotté le billet contre la boite, et vous venez de me dire que c’est pareil que si je l’avais mis dedans…