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La blague de la vieille séduite

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Le Président du Tribunal :
– Madame, voudriez-vous nous dire votre âge ?

La gentille vieille dame :
– Bien sur. J’ai 91 ans.
– Voulez-vous nous dire, sans vous contrarier, ce qui vous est arrivé ?
– J’étais assise devant chez moi sous la tonnelle. C’était un soir de printemps, il faisait bon. Un jeune homme s’est approche furtivement et il est venu s’asseoir auprès de moi.
– Le connaissiez-vous ?
– Non, mais je l’ai trouve sympathique tout de suite.
– Qu’est-il arrive ensuite ?
– Il a commence a me caresser la cuisse.
– Et vous ne l’avez pas interrompu ?
– Non, Monsieur le Juge.
– Pourquoi donc ?
– Ben, c’était agréable. Personne ne m’avait fait ça depuis la mort de mon Grégoire, il y a trente ans de cela.
– Et ensuite ?
– Il a commence à me caresser les seins.
– Vous lui avez demande d’arrêter ?
– Non, pas du tout.
– Pourquoi ça ?
– Ben, Monsieur le Juge, ses caresses m’ont fait revivre. J’étais excitée, je ne m’étais pas sentie aussi bien depuis des lustres.
– Et ensuite ?
– Bon, je me sentais tellement sexy que j’ai écarté mes vieilles jambes et je lui ai dit « Prenez-moi, jeune homme… Prenez-moi ! »
– Qu’a-t-il fait alors ? Il vous a prise ?
– Nom de Dieu que non ! Il s’est mis à gueuler « Poisson d’Avril » en ricanant comme un con et c’est la que je l’ai descendu ce petit enfoiré.

Dessin d'un homme qui vient de se prendre une balle dans la tête pour un poisson d'avril
Séduire une grand-mère

L’empoisonneuse de maris

C’est une femme qui passe aux Assises parce qu’elle a empoisonné son mari. Le procureur de la République tend vers elle un doigt accusateur et lui dit :
– Madame, votre acte était prémédité !
– Comment ? Quoi ?
– Vous avez fait exprès !
– C’est vite dit…
– Oui, c’était un crime prémédité ! D’ailleurs, dans la soupe de votre mari, il y avait quatre doses de poison. De quoi tuer quatre personnes normales !
– Mais c’est la faute de ce grand cochon, monsieur le procureur ! Qu’est-ce que vous voulez qu’ j’y fasse, il a toujours bouffé comme quatre !

La narcolepsie et la justice

Avant de constituer un jury d’assises, le président demande aux personnes désignées par le sort si elles ne présentent aucune affection, susceptible de les empêcher d’accomplir leur tâche.
– Moi, répond un homme, je souffre de narcolepsie. Je crains de ne pas pouvoir me retenir de dormir pendant les audiences.
– C’est effectivement fort ennuyeux pour un juré, répond le magistrat. En revanche, ce mal est très répandu parmi les juges et je peux vous assurer que cela n’a jamais nuit à la bonne administration de la justice.